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00:00 Le gouvernement a-t-il fait un effort pour rétablir la réduction du nombre de cas de Covid-19 ?
00:04 Le gouvernement a-t-il fait un effort pour rétablir la réduction du nombre de cas de Covid-19 ?
00:10 Le gouvernement a-t-il fait un effort pour rétablir la réduction du nombre de cas de Covid-19 ?
00:17 À un moment donné, quand l'homme a dépassé les 60 ans, il faut penser que c'est aujourd'hui ou demain, on ne sait pas.
00:28 Je suis très heureux aujourd'hui parce que même si je mourrais aujourd'hui, je peux dire que j'ai laissé un héritage.
00:43 Un héritage sur tout. Dieu m'a donné les enfants, il m'a donné les moyens.
00:49 Et maintenant, il m'a gardé longtemps pour que je puisse relater toutes ces choses-là devant le public guénais.
01:01 Je disais que j'ai fait ça pour briser le mythe entre moi et la population guénaise.
01:11 Il y a beaucoup qui disent que Allah a une diablesse qui leur donne l'argent tous les jours de nuit.
01:21 J'entends tout. Il y en a qui disent qu'il a la machine qui fabrique l'argent.
01:26 Il y en a qui disent que ce compte qui a pris l'argent, l'État l'a donné.
01:31 Il fallait que j'explique réellement comment j'ai travaillé et j'ai reçu personnellement cette richesse-là.
01:43 Bien sûr, à côté de ma famille, je vais parler d'Honoré Dembault, qui était toujours à mon côté, pour vraiment m'aider de tout ce que je propose.
02:05 Quand il s'agit de création de choses, de la faisabilité, je remercie mon grand frère Alain Duvalic qui est présent.
02:16 Je remercie ma femme, celle qui m'a accompagné, la première dame, Mme Sylla, Agé Fatouba.
02:29 Je remercie mes filles, mes garçons, et aussi mes petites filles et petits-fils.
02:37 De l'esprit, oui. Parce que je pense que le guider est de bonne foi, pas de mauvaise foi.
02:43 Parce que quelque chose que tu peux faire, les gens vont toujours dire "oui, mais..."
02:50 Ça, je ne m'intéresse pas à eux. Parce que vous savez, quand quelqu'un est animé de haine, là tu ne peux rien contre lui.
03:03 Mais je parle des gens qui comprennent, des gens normaux, guinéens, qui veulent savoir aujourd'hui qui est Alain Ba Mouna Sylla patronat.
03:14 Mais oui, j'ai dit que j'ai brisé le but. Que les gens sachent que si je me reprochais de quelque chose, je n'allais pas oser l'écrire.
03:24 Vous savez, je suis un homme mélange, je suis bon mélange. Je fais, vous savez, le mouvement là.
03:31 Et comme la politique, presque, ça dort, ça ne travaille pas, j'ai cherché l'occasion.
03:41 Comme je suis, tout le temps c'est comme ça. Et c'est d'ailleurs ça qui m'a permis de réussir.
03:49 Parce que j'avais toujours plan A, plan B, plan C. Quand A ne marche pas, je pense B. B ne marche pas, on est à C.
03:57 Donc voilà, l'homme c'est ça. Donc aujourd'hui, j'ai un titre d'écrivain, l'homme d'écriture.
04:07 Et pourquoi ne pas aller avec ensemble, mais un jour quand même, je compte prendre ma retraite.
04:13 Pour laisser les générations montantes, pour que nous on soit là, si Dieu nous donne une longue vie et de la santé,
04:24 pour qu'on puisse vraiment rester à côté pour qu'on soit les jeunes générations montantes. Voilà.
04:34 Et puis aussi nos parents, parce qu'ils ont été, c'est grâce à eux, Dieu nous a créés, mais c'est eux qui nous ont mis au bon.
04:48 A tout à l'heure, merci.
04:50 - Ouais.
04:50 [SILENCE]