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Olympique Sorare, c’est l’émission du Phocéen sur Sorare avec une personnalité du monde des médias. Aujourd’hui, c’est Saber Desfarges, la nouvelle tête d’affiche de Téléfoot, qui se prête au jeu, et qui revient notamment sur le jour où il a fallu gérer les interviews des joueurs sélectionnés pour la coupe du monde 2022.

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Sport
Transcription
00:00 Salut à tous, si vous êtes là, c'est pour visionner Olympique Saurart.
00:08 Ça va démarrer dans quelques secondes, juste avant de me retrouver.
00:12 Je vous indique le lien de parrainage du fossé 1 Saurart, il est juste en dessous.
00:17 N'hésitez pas si vous voulez faire l'aventure avec nous et vous rappelez que si on a l'opportunité
00:23 de vous faire vivre d'autres expériences avec Saurart, on ne s'en privera pas.
00:26 Salut à tous et bienvenue sur Olympique Saurart, votre rendez-vous avec ce jeu de fantasy football.
00:35 Je suis ravi de vous retrouver, un peu moins ravi pour ne pas vous le cacher, de retrouver
00:41 notre invité du jour parce que je préférerais qu'il se repose.
00:46 Mais il m'a dit Romain, je ne vais pas te lâcher, je suis là.
00:49 Malheureusement, c'est un de ses organes qui l'a lâché, il va peut-être nous en dire plus.
00:54 C'est Saber Desfarges qui est avec nous, comment ça va Saber ?
00:57 Salut Romain, salut tout le monde, très content d'être avec vous.
01:00 Ça va ? Écoute, ça va avec un genou en moins, mais paraît-il que c'est le B.A.B.
01:06 quand on joue un petit peu au foot ou quand on joue au paddle, même si on n'a pas un
01:10 grand niveau comme le mien.
01:11 Mais voilà, il a relâché de nouveau, mais bon, c'est comme ça, on va passer des examens.
01:16 Tu m'as dit ça tout à l'heure, on vous dit tout.
01:22 Saber m'a dit que ça a lâché là, ça a lâché sur du paddle.
01:25 C'est terrible parce que normalement, c'est les gens qui se sont fait les croisés qui
01:29 après vont au paddle parce qu'ils se disent là, au moins il n'y aura pas de contact.
01:32 Tu t'es fait tacler ? Exactement.
01:34 Écoute, non, je crois que j'ai pris un méchant contrepied.
01:38 Je ne l'ai pas vu venir, je n'ai pas pu en fait me redresser à temps pour récupérer
01:45 la balle.
01:46 Non seulement j'ai lâché le poing, mais en plus j'ai lâché un ligament en plus.
01:48 Donc voilà, la totale, écoute, c'est pas mal.
01:51 Écoute, tu es peut-être le premier qui va inventer les croisés que tu connais au paddle.
01:57 C'est pas mal.
01:58 C'est terrible.
01:59 Et je peux te dire, je ne suis pas fier de ça.
02:02 Je ne suis pas fier de ça du tout, mais c'est fort probable.
02:04 Et en plus, toi aussi, tu connais ce que c'est.
02:06 Tu sais ce que c'est.
02:07 Oui, effectivement.
02:08 Effectivement.
02:09 Bon, Saber, tu dis qu'il y a des choses là dont tu n'es pas fier.
02:15 Il y a quand même des choses dont tu peux être fier au niveau de ton boulot, puisque
02:22 tu es un des transferts médias de la saison.
02:26 Alors, on ne célèbre pas les transferts comme des titres dans le foot ou dans les médias,
02:31 mais c'est quand même pas mal en termes d'exposition, de devenir un des visages de
02:37 Téléfoot, de voir une marque en France aussi importante que Téléfoot se dire, on veut
02:43 l'exclusivité, on veut que ça soit notre Saber à nous de faire la Coupe du Monde
02:48 comme ça avec les Bleus.
02:49 C'est super, non ?
02:50 Oui, c'est un peu un rêve de gosse au final, tu vois, parce que bon, sans vouloir resservir
02:57 la soupe habituelle par rapport à Téléfoot, mais ça reste une émission emblématique
03:01 que je regardais gamin.
03:02 Je pense que je n'étais pas le seul aussi.
03:03 Donc, pouvoir y participer maintenant régulièrement et puis surtout sur les Bleus, ça reste
03:08 le Graal avec ces générations incroyables qui peuvent aller encore très loin.
03:11 On a peut-être 10 ans devant nous où on peut avoir l'espoir de rafler un maximum de
03:15 titres.
03:16 C'est une fierté incroyable.
03:17 Je ne pars pas du 15e arrondissement de Paris.
03:22 Ah, on a eu un petit souci de connexion avec Saber.
03:30 Saber, tu m'entends ?
03:32 Ouais, je t'ai retrouvé.
03:34 Ça y est, désolé.
03:35 Non, non, non, écoute, c'est une fierté incroyable d'être aujourd'hui à Téléfrance.
03:40 Ce n'était pas forcément prévu.
03:41 Quand j'ai reçu un coup de fil au mois de septembre avec cette possibilité de rejoindre
03:45 Téléfoot et ensuite la possibilité de suivre l'équipe de France dès la Coupe du Monde,
03:51 trois semaines à un mois après mon arrivée, ça allait très vite.
03:55 Ça allait très vite, mais au final, c'était génial, même si les Bleus ne l'ont pas
03:59 renforcé.
04:00 C'est l'équivalent d'une dernière journée de Mercato, là, que tu es en train de nous
04:02 dire.
04:03 C'est l'équivalent d'un joueur de Ligue 1 qui reçoit un appel sans manquer de respect
04:07 après une vidéo sur laquelle tu étais, mais justement qui diffuse la Ligue 1.
04:12 Et tu es le joueur le 31 août qui reçoit un appel et c'est un gros club européen qui
04:17 t'appelle le 31 août à 23h30 en te disant "T'es chaud, faut signer maintenant".
04:24 Ah, écoute, écoute, je ne sais pas si la comparaison est bonne parce que Prime Video,
04:28 c'était génial.
04:29 L'équipe du soir aussi, c'était super, en fait, de superbes expériences.
04:32 Mais ouais, il y a des propositions qui sont difficilement refusables.
04:36 Le Coupe du Monde, Téléfoot, la possibilité de suivre les Bleus de A à Z.
04:42 Toi, tu connais en plus à quel point j'aime le foot international, comme quoi j'ai toujours
04:48 pris beaucoup de plaisir à suivre les compétitions internationales et encore plus l'équipe
04:51 de France.
04:52 Bah ouais, ouais, ouais.
04:54 Tu ne dis pas non à ça, quoi.
04:57 Et tu vois, tu disais un truc et je le vois, je vous lis sur le chat.
05:01 Tu as dit cette phrase que j'entends à chaque fois de dire "je ne vais pas refaire l'histoire".
05:08 C'est vrai qu'on a tous grandi avec le rendez-vous Téléfoot le dimanche matin.
05:13 Mais je trouve vraiment que ce que vous arrivez à faire, ce n'est pas...
05:17 Vous ne vous contentez pas de refaire ce que vous avez vu petit.
05:20 On embrasse Christian Jean-Pierre, mais vous ne vous contentez pas de faire une petite rubrique
05:25 Les Insolites, machin.
05:26 Non, on va quand même proposer un contenu à ceux qui regardent maintenant et on propose
05:34 un contenu qui est transposable.
05:35 Ce n'est pas juste pour ceux justement qui avaient ce rendez-vous du dimanche matin.
05:40 C'est on va chercher un contenu qui, au final, peut se consommer.
05:43 Je parle notamment pour maintenant les plus jeunes qui n'attendent pas, qui n'avaient
05:46 pas le résultat des matchs du samedi soir.
05:49 Et par exemple, l'interview de Wesley Fofana, tiens, dans le dernier.
05:55 On a quelque chose, on arrive à créer quelque chose.
05:59 C'est la vitrine Téléfoot qui te permet évidemment de créer cette proximité avec
06:03 les joueurs.
06:04 Mais ce n'est pas juste pour être copain avec eux.
06:06 Ce n'est pas pour être copain avec eux, c'est pour proposer un contenu intéressant
06:09 pour les téléspectateurs.
06:10 Oui, c'est ça.
06:11 Et puis la complexité un petit peu de l'exercice maintenant, c'est que Téléfoot, ça reste
06:16 une émission familiale, très grand public.
06:19 Et donc l'idée, c'est aussi bien, finalement, plaire à ces personnes-là qui suivent potentiellement
06:27 le foot une fois dans la semaine.
06:28 C'est à travers Téléfoot.
06:29 C'est-à-dire que nous, on est des passionnés du quotidien.
06:34 On suit évidemment le moindre résultat à la minute près, toi et moi, et d'autres
06:38 évidemment qui nous écoutent et qui nous regardent maintenant.
06:41 Mais le public de Téléfoot, c'est aussi des personnes qui regardent le foot seulement
06:46 une fois dans la semaine.
06:47 Il faut savoir non seulement les satisfaire, mais aussi satisfaire celles et ceux qui suivent
06:51 tout le long de la semaine.
06:52 Donc, c'est un petit peu ça parfois qui est un petit peu compliqué, mais ça reste
06:56 forcément excitant.
06:57 Donc, on essaie de créer des contenus, d'essayer de faire des coups, d'essayer d'avoir des
07:00 interviews qui ne sont pas ailleurs pour encore une fois satisfaire un maximum de personnes.
07:06 Et c'est un double public qu'il faut savoir satisfaire.
07:09 Tu as des envies, des objectifs sur les émissions qui vont arriver dans les semaines, dans
07:18 les mois à venir ?
07:19 Écoute, ça me fait bizarre d'être avec toi et de ne pas parler de l'Olympique de
07:23 Marseille.
07:24 C'est très bizarre.
07:25 Donc, oui, j'ai envie de faire un truc prochainement avec l'Olympique de Marseille.
07:30 Là, voilà, j'essaie de travailler aussi dessus.
07:32 Il y a un beau petit Lyon-Marseille dimanche qui nous attend.
07:36 Je pense que cette course au podium, elle va être super excitante avec Lens aussi et
07:41 Monaco dont on parle un petit peu moins.
07:42 La descente, là, c'est en train de se décanter.
07:45 Donc, voilà.
07:46 Après, non.
07:47 Moi, il y a toujours ce truc-là que je garde en tête, c'est que l'euro, c'est quasiment
07:51 demain pour moi.
07:52 C'est quasiment demain et ça va arriver très, très vite.
07:54 Là, on a pu voir une petite refonte avec des cadres qui sont partis à la retraite.
07:59 On a vu ce que ça a donné contre les Pays-Bas et contre l'Irlande.
08:02 Cet euro en Allemagne, il va être dingue.
08:03 Ça va peut-être être encore plus intéressant sportivement avec les équipes européennes.
08:10 Quand tu vois l'Angleterre, ce que ça a donné pendant la Coupe du Monde, tu peux espérer
08:14 légitimement que cette équipe-là va continuer à progresser.
08:16 Le Portugal, tu as quand même aussi des individualités incroyables.
08:19 On a parlé des Pays-Bas anciens demi-finalistes.
08:22 L'Allemagne qui va forcément se ressaisir à domicile.
08:24 Cet euro, je pense qu'il va être d'un niveau incroyable et il se prépare dès maintenant,
08:28 en fait.
08:29 Parce que justement, on parle des sélections et de ces listes.
08:34 Que fera aussi Didier Deschamps pour l'euro ?
08:37 Il y a eu celle de la Coupe du Monde.
08:39 C'est un épisode qu'on a relaté sur l'Euphocéen et j'imagine que c'est intéressant.
08:44 On nous l'avait demandé dans le chat.
08:45 On a dit que tu venais.
08:47 C'est intéressant d'avoir ton point de vue là-dessus.
08:50 Tu nous racontes de votre côté, à Téléfoot, comment ça s'est passé.
08:53 On a relaté cet épisode de l'annonce de la liste de Didier Deschamps pour la Coupe
09:00 du Monde.
09:01 Jonathan Kloss pensait y être.
09:02 Il y avait même des entretiens programmés, notamment avec Téléfoot.
09:06 Évidemment, vu que c'est le média des Bleus.
09:09 Au dernier moment, il n'est pas dans la liste.
09:12 Et le journaliste qui était envoyé pour faire l'interview de Jonathan Kloss, on lui
09:20 dit "attends, ne bouge pas, reste à Marseille.
09:22 Il va falloir faire Jordan Veretout parce que lui, il est dans la liste".
09:25 Et ça, ça se fait dans les derniers moments.
09:27 C'est vraiment une organisation, j'imagine, à la hâte.
09:31 Mais on sait aussi que du côté des joueurs, ça va faire quelque chose parce que Jonathan
09:36 Kloss s'attendait à avoir un mec, une caméra chez lui pour suivre la liste.
09:40 Et d'un coup, il apprend qu'il va chez Vertout.
09:42 Donc, il comprend.
09:43 Il se doute bien que ce n'est pas juste parce que son salon n'est pas terrible.
09:47 C'est un sujet difficile, mais Jonathan m'a bien entendu.
09:53 C'est un sujet difficile.
09:54 Non, mais savoir vous, comment vous avez géré ça ? On l'a su du côté des joueurs,
09:58 ce n'était pas évident.
09:59 Vous, comment vous l'avez géré aussi humainement ?
10:01 Écoute, nous, on peut avoir des informations sur la liste.
10:10 On essaie forcément d'anticiper.
10:17 Ce qui était prévu, c'est vrai, c'est qu'on aille chez Aurélien Tchouameni.
10:21 Bon, il y avait un petit peu moins de surprises.
10:23 Je suis allé à Madrid chez Aurélien Tchouameni et chez Eduardo Camavinga derrière.
10:27 Ensuite, on avait différents échos par rapport aux Marseillais, notamment Jonathan Kloss.
10:33 L'info, elle ne part pas forcément de nous en plus parce que je crois que c'est l'équipe
10:36 déjà qui relate cette info-là et cette possibilité-là de ne pas voir Jonathan Kloss en équipe de
10:41 France le lendemain avec la liste d'Elié Deschamps.
10:43 Donc forcément, on fait notre travail.
10:46 On fait notre travail.
10:47 On essaie d'en savoir un petit peu plus.
10:49 Et c'est vrai que oui, on a eu l'information le matin qu'un autre Marseillais allait être
10:55 dans la liste, en l'occurrence, Jordan Veretout.
10:58 À ce moment-là, les équipes étaient, pour tout vous dire, déjà dans le train.
11:04 Donc c'est très particulier à gérer parce qu'il y a des choses qui sont prévues avec
11:10 un joueur en question et ce n'est pas évident forcément d'annoncer cette nouvelle-là
11:16 comme quoi ça va être difficile de venir pour nous ce soir.
11:19 C'est même affreux de participer à cela, d'assister à cela et de voir, d'assister
11:25 en direct à la peine d'un joueur qui ne va pas pouvoir réaliser son rêve.
11:29 C'était quelque chose de très difficile à gérer humainement.
11:30 Il a fallu souffler un bon coup et trouver les bons mots et adopter la meilleure attitude
11:37 possible pour être le plus respectueux possible vis-à-vis de la personne.
11:40 Là, on ne parle même plus de foot ni quoi que ce soit.
11:43 On parle d'un garçon qui ne va pas réaliser son rêve.
11:46 Donc non, ça n'a pas été un moment facile à gérer, mais ça fait partie encore une
11:52 fois des aléas d'une liste et encore plus d'une liste aussi importante que celle qui
11:57 mène à une Coupe du Monde.
11:58 Et j'imagine que du côté de Jordan Berretoux, on ne vous a pas dit « ah ben non, vous
12:01 me prévenez au dernier moment, ne venez pas ».
12:04 Non, je pense que Jordan était plutôt content quand on a été amené à échanger.
12:11 Après, il n'y a jamais de certitude absolue.
12:16 Encore une fois, c'est des échos.
12:18 Moi, en toute honnêteté, je n'avais pas la liste complète.
12:22 J'avais quelques noms bien sûr, ce qui permet en fait de travailler.
12:27 Mais ça reste encore une fois des échos.
12:28 C'est ça qui est important.
12:30 C'est que tu n'es pas à l'abri d'une surprise.
12:32 Une liste, elle est mouvante.
12:34 Tout peut changer encore une fois dans les derniers instants pour différentes choses
12:38 qu'on ne maîtrise pas.
12:39 Donc, il y a toujours cette part de risque un petit peu.
12:42 Mais cette part de risque, tu es obligé de la prendre parce que ça fait partie de ton
12:45 travail d'anticiper pour tout simplement proposer un maximum de contenu aux gens qui
12:50 nous regardent.
12:51 Ok, top.
12:52 Écoute, merci pour ces petites coulisses de cet épisode de la saison marseillaise
13:01 aussi, même si ça ne sera plus prêté à conséquence pour l'Olympique de Marseille
13:07 parce qu'il y a eu un mondial.
13:08 Mais surtout qu'au retour de ce mondial, on a eu un super Olympique de Marseille avec
13:11 notamment huit victoires consécutives avec un super Jonathan Kloss, avec un super Jordan
13:18 Verrethou comme quoi.
13:19 C'était bien digéré des deux côtés.
13:23 Tiens, on va basculer un peu sur Saurard Saber parce que vous m'en avez parlé une fois
13:29 au Vélodrome avant un match.
13:31 Ouais, c'est ce truc là.
13:32 Tu étais un peu curieux de savoir un peu ce que c'était.
13:36 Donc, je vais te rappeler que Saurard, on va te montrer un peu comment ça marche.
13:42 Saurard, on fait des équipes.
13:45 Je vais aller te montrer ça de suite.
13:50 On fait des équipes, on collectionne des cartes de joueurs.
13:54 Tu as récupéré la carte de Vitinha ou pas ?
13:57 Non, je ne l'ai pas.
13:59 Mais tu vois, c'est un vrai sujet Vitinha parce que là, évidemment, il a mis deux
14:06 buts.
14:07 Donc, tiens, tu vois, on va aller la voir de suite la carte de Vitinha.
14:11 Vitinha de l'Olympique de Marseille.
14:15 Tu vois, Vitinha, là, je te montre un peu le moins cher et tu as 36,49€ pour les cartes
14:21 limited.
14:22 Donc, en fait, tu as, jusqu'à Saurard, je te rappelle, tu fais une équipe de 5.
14:27 Donc, tu choisis un gardien, un défenseur, un milieu, un attaquant, un joueur additionnel.
14:31 Et en fonction de leur score, ils ont chacun une note sur 100.
14:35 Et si tu es classé parmi les meilleurs, tu te rapproches forcément des 500 points.
14:40 Des fois, tu peux même avoir plus parce qu'il y a des pourcentages de bonus.
14:43 On rentre un peu dans les détails.
14:46 Eh bien, tu te rapproches des premières places.
14:48 Et si tu es dans les premières places sur ta compétition, alors il y a la compétition
14:51 Ligue 1, la compétition des 5 plus grands championnats européens, la compétition mondiale.
14:56 Tu as plusieurs compétitions deux fois par semaine.
14:59 Si tu es dans les premiers, tu peux gagner soit une prime d'argent sur le podium ou
15:03 vraiment pour les premières places.
15:04 Et tu gagnes aussi des cartes, d'autres cartes.
15:07 Donc, du coup, tu permets de faire grossir ton effectif, d'avoir un effectif de plus
15:11 en plus intéressant.
15:13 Tu vois, tu regardes Vitya.
15:15 Il a été bien voté ou pas sur le dernier match ?
15:17 Eh bien, sur le dernier match, il a 80 sur 100.
15:20 Donc, tu vas me dire, le mec a bien doublé et il n'a pas la note maximale.
15:24 On va regarder sur le détail de ces notes.
15:28 Il a perdu 7 duels.
15:30 C'est vrai que c'est ce qui lui fait… Il a fait deux fautes.
15:33 Il perd un peu des points.
15:35 Et voilà, il perd surtout, on le voit, 10 points sur le grosse occasion ratée.
15:39 Il en a deux.
15:40 Et c'est vrai.
15:41 Il a permis tant cette frappe à 2 mètres d'écage qui est plus dure à mettre dehors
15:46 que dedans.
15:47 Et puis, il y a aussi cette occasion seconde, ce piqué qui part du mauvais côté.
15:56 Donc, voilà, ça explique sa note de 80.
16:00 Tu marques OK, mais on n'oublie pas aussi qu'il y a eu des gros raccourcis.
16:05 Oui, il aurait pu faire mieux.
16:06 Oui, c'est plutôt juste au final.
16:07 C'est plutôt juste.
16:08 Mais c'est vrai que tu vois, à SORAR, c'est un des fois, on en parlait récemment avec
16:13 des joueurs, des fans de l'OM qui sont sur SORAR et je les salue et qui me disaient aussi
16:19 le problème des fois, notamment Clément.
16:23 Et c'est vrai que le problème des joueurs de l'OM, c'est que comme SORAR est un jeu
16:28 du coup régi par la loi de l'offre et la demande, si tu es… tu as beaucoup de fans
16:35 de l'OM d'une manière générale, en général, tu as aussi beaucoup de fans de l'OM sur
16:39 SORAR.
16:40 Donc, du coup, on va être plus nombreux à vouloir s'offrir un Vichinia.
16:43 Donc, mécaniquement, son prix monte.
16:45 Et voilà.
16:46 Là où, et ça va peut être te parler, on va aller voir dans ma galerie.
16:51 Tu vas voir que moi, je suis allé chercher dans une catégorie au-dessus un autre attaquant
16:57 qui ne paye pas de mint.
16:58 Il s'appelle Dejan Kay.
16:59 Ah, là, tu me parles français.
17:00 Voilà.
17:01 Et tu vois, c'est un attaquant.
17:02 Il a des très bonnes stats.
17:03 Là, tu vois, contre Angers, il a un score de 83 alors que si je ne m'abuse, il n'en
17:09 a mis qu'un de but et sur pénalty.
17:10 Et sur pénalty, il est devant une très, très belle tribune en juin.
17:11 Eh oui.
17:12 Eh bien, tu vois, regarde.
17:13 Tu ne l'as pas vu ? Ah, tu ne l'as pas vu.
17:14 Tu ne l'as pas vu.
17:15 Je t'invite à regarder l'image au moment où il a tiré son pénalty.
17:16 Tu regarderas en fait le parkage visiteur.
17:17 C'était magnifique.
17:18 Il a vu quelques lunes.
17:19 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
17:20 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
17:21 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
17:44 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:11 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:18 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:22 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:27 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:33 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:39 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:46 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:51 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
18:57 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:03 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:10 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:16 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:22 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:28 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:34 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:40 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:46 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:52 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
19:58 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:04 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:10 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:16 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:22 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:28 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:34 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:40 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:46 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:52 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
20:58 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:04 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:10 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:16 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:22 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:28 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:34 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:40 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:46 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:52 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
21:58 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
22:04 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
22:10 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
22:16 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
22:22 Et là, tu vois, il a mis un point de plus.
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