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Dans la deuxième heure de son émission consacrée à la culture, Philippe Vandel reçoit chaque jour un invité.
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Transcription
00:00 Culture Média, Philippe Vordel avec votre invité à l'affiche dans de très nombreuses salles de cinéma à partir d'aujourd'hui.
00:07 - Cadmérat, bonjour. - Bonjour Philippe.
00:09 - Bonjour, il cherche quoi ? Il cherche son micro ?
00:11 - Non, le volume, tu sais j'aime bien moi quand...
00:13 - C'est vrai, il aime bien régler. - J'ai fait de la radio, on a vu quoi ?
00:15 - Il vient de la radio, Cadmérat, puis de la télé, notamment sur comédie.
00:18 On vous a vu récemment dans Le Flambeau, dans un genre totalement différent, Baron Noir, il y a eu les choristes,
00:23 je vais bien ne t'en fais pas, César, venu en second rôle.
00:25 Il y a 15 ans, vous avez explosé dans le métier avec Bienvenue chez les Ch'tis avec Danny Boon et puis Super Chondriac avec Danny Boon.
00:31 Et votre actualité c'est La Vie pour de vrai, en film de et avec Danny Boon, avec Charlotte Gainsbourg, ça sort aujourd'hui.
00:37 Alors avant qu'on raconte cette vie pour de vrai, pourquoi vous avez attendu 10 ans pour reformer votre duo ?
00:43 Ça c'était mes questions et je me suis rendu compte que c'était une seule et même question.
00:46 - Oui, wow. Bonjour déjà, bonjour à toutes les personnes qui nous écoutent ce matin.
00:53 Écoutez, Philippe, on se dit tu ou on se dit vous, je sais plus comment on vous dit ?
00:57 - Dans la vie on se dit tu, comme tout le monde, on va dire vous à l'antenne. Il ne faut pas exclure.
01:00 - Non mais c'est vrai, c'est vrai.
01:02 Danny, c'est simple pour Danny, il écrit des films, mais il ne pense pas forcément à des acteurs,
01:09 il ne se dit pas "je vais reformer le duo qui a tant marché", je parle à sa place évidemment,
01:14 mais on en a déjà parlé et puis on a répondu beaucoup à cette question.
01:17 Finalement, on a attendu 10 ans, mais je n'en ai pas l'impression d'avoir entendu.
01:20 D'abord, on a fait chacun de son côté plein de choses, c'est comme avec Olivier Barrou, je le retrouve régulièrement aussi.
01:27 - Olivier Barrou de KDO, avec qui vous aviez démarré.
01:29 - Exactement. Donc en fait ce sont des rendez-vous qui sont un peu naturellement.
01:33 Le film et le rôle étaient pour moi, mais avant ce n'était pas pour moi, c'est tout.
01:36 - Voilà, comment il vous l'a raconté le film ?
01:38 - Il m'a raconté... comment il m'a raconté le film ? Ça c'est intéressant.
01:42 Il m'a juste dit... c'est là que vous allez voir, c'est là que je suis fou en fait.
01:46 Il m'a juste dit "Voilà, j'ai envie que tu sois Louis, mon demi-frère dans le film".
01:51 Je lui ai dit "Écoute, avant toute chose, est-ce qu'on a des scènes ensemble ?"
01:53 Il me dit "Oui, on a beaucoup de scènes ensemble, on va pouvoir vraiment s'amuser".
01:57 Il dit "Oui". J'ai dit "Oui" à ce moment-là. Et après j'ai lu le scénario.
02:00 Ce que j'avais envie de... ce que j'aime avec Danny, c'est de jouer ensemble.
02:04 Le duo, il fonctionne parce qu'on se connaît très très bien.
02:07 Et voilà, on est content quand l'autre est drôle et inversement, il n'y a pas d'égo.
02:12 On est très heureux et puis Danny est très facile à travailler.
02:15 Comme metteur en scène notamment.
02:17 On essaie de faire des réponses rapides, c'est la radio là.
02:20 - Le film s'appelle "La vie pour de vrai" et "La vie pour de vrai" c'est la vôtre de vie.
02:24 Celle de Louis, chauffeur de VTC.
02:26 Alors que lui, Trident, c'est un peu la vie pour de faux.
02:29 - Lui, c'est le Géo qui n'est jamais sorti de cette vie de Géo, qui est né au Club Méditerranée.
02:35 - Ses parents se sont connus là-bas.
02:36 - Exactement. Ce sont des choses qui arrivent.
02:38 Il y en a quelques-uns encore des Géos qui sont restés scotchés dans leur village,
02:42 toujours les pieds nus.
02:44 - Et au Mexique en plus.
02:46 - Et au Mexique en plus.
02:47 - Et qui ne savent pas que l'argent existe par exemple.
02:49 - En fait au club, comme maintenant aujourd'hui, c'est un peu exclusif.
02:53 A l'époque on avait des colliers avec des perles, vous vous souvenez ?
02:55 - Des petites boules, on payait avec ça.
02:57 - Après c'était des tickets.
02:58 En tout cas le principe c'est que tu arrives en vacances et tu ne te soucies de rien.
03:02 Tu manges, tu fais tout gratos.
03:04 Et quand t'es Géo, tu es absolument lourri.
03:06 - Nourri, nougé, blanchi.
03:09 - T'as vu un peu le...
03:10 Moi j'ai été Géo, j'ai été musicien au club.
03:13 Donc je sais très bien ce que c'est de passer sa vie sur une plage,
03:16 manger avec des gens que tu ne connais pas,
03:18 de les voir partir chaque semaine, de te faire des nouveaux copains toutes les semaines, de pleurer.
03:21 - Attends juste un mot, pendant combien de temps ?
03:23 - Moi j'ai fait ça sur cinq années, mais je revenais sur Paris.
03:26 J'étais musicien donc je jouais aussi un peu à Paris.
03:29 On faisait les saisons, on choisissait en fonction de ce qu'on nous proposait.
03:32 Alors c'était sûrement la Guadeloupe, c'était la Floride, c'était super.
03:36 - Vous savez quoi ? On ne sait même pas pourquoi Danny Boon revient à Paris retrouver son demi-frère.
03:42 Ça tombe très bien parce que l'émission n'est pas terminée.
03:44 Kad Merad est avec nous.
03:45 Culture Média continue sur Europe 1.
03:47 - Culture Média sur Europe 1 jusqu'à 11h.
03:49 Philippe Vandel avec votre invité Kad Merad.
03:51 - On parle de la vie en vrai, film de Danny Boon.
03:53 - Pour de vrai.
03:54 - Pour de vrai.
03:55 - Oh là là, on l'a repris en deux secondes lui.
03:56 - Exactement.
03:57 Je m'étais noté la vie en vrai, je vais noter la vie pour de vrai sur le papier que tu m'as fait.
04:00 - C'est pas grave, on sait ce que c'est.
04:01 - On a raison.
04:02 - Dans les années 2007, personne n'arrivait à dire le titre.
04:06 - Il a été remixé plusieurs fois.
04:08 - Et moi je l'avais noté exprès pour ne pas vous bourrer.
04:11 La vie pour de vrai.
04:12 Alors vous savez quoi ? On va faire quelque chose qu'on ne fait jamais.
04:14 On va entendre un bout de la bande-annonce et vous allez nous expliquer ce qui se passe.
04:18 - En même temps ?
04:19 - Du coup on ne va rien comprendre.
04:20 Non.
04:21 - Parce que là...
04:22 - Il n'y a que lui qui peut dire ça.
04:23 Kad Merad, la bande-annonce, la vie pour de vrai.
04:25 - Vous êtes qui ?
04:30 - J'étais au Club Med de ma naissance à maintenant.
04:32 - On m'appelle Trident.
04:33 - Trident ?
04:35 - Du Club Med.
04:36 - Tu pourrais quand même m'accueillir ton petit frère.
04:40 - Demi-frère.
04:41 - Encore mieux, je prends moins de place.
04:42 Je veux retrouver mon amour d'enfance de mes 8 ans, Violette.
04:45 - Je peux dormir ici alors ?
04:46 - Oui !
04:47 - Je le savais, je le savais, ça pourrait aller un coup.
04:49 - Voilà, voilà, voilà.
04:50 - La fois que tu t'arranges, je peux aller retrouver rien.
04:52 - T'as plus de 8 ans toi non plus.
04:53 - T'as vu ta gueule, on dirait un charpé.
04:55 - Un quoi ?
04:56 - Tiens.
04:57 - C'est moi ça ?
04:59 - Ouais.
05:00 - C'est difficile là de... Vous avez des images ou pas ?
05:04 - Bien sûr, alors il faut le dire.
05:05 La scène du charpé, la scène du charpé.
05:07 Anissa, vous avez vu le film ?
05:08 - Ah, elle est exceptionnelle.
05:09 - Et le charpé, c'est Danny Boon.
05:11 - En fait, quand on regarde Danny, on voit un charpé.
05:13 - Mais vraiment.
05:14 Et heureusement que c'est lui qui a écrit le film.
05:16 Parce que sinon, personne n'aurait pu se permettre ça.
05:18 - Ah oui, et puis on se permet, et Danny se permet aussi avec moi des choses.
05:22 Parce qu'il y a une scène, je sais pas si vous avez vu le film.
05:24 - Oui, on a vu le film tous les deux.
05:25 - Où pendant, on se brosse les dents et il me crache sur la nuque.
05:27 - Ah ouais.
05:28 - C'était pas prévu du tout.
05:29 - Ah bon ?
05:30 - Ah oui, vous l'avez pris comment ?
05:31 - Bien, mais je pense qu'un autre acteur, il le prenait super mal.
05:34 Parce qu'il m'a craché sur la tête en fait.
05:35 - Ah oui, on fait pas ça...
05:36 - Donc il a décidé...
05:37 - On fait pas ça, de l'eau.
05:38 - Non.
05:39 Non, mais c'est vrai.
05:40 Je pense qu'il y a des gens...
05:41 Moi, on est tellement proches et tellement complices.
05:43 Et bon, je suis un peu... Il aime bien ça.
05:46 Et ben, finalement, on l'a gardé dans le film.
05:48 Et ça m'a pas...
05:49 Au contraire, on a continué de jouer en fait.
05:51 C'est là où...
05:52 Bon, c'est là que je parle de complicité.
05:53 Ça peut pas se faire avec deux...
05:54 - Il y a quelque chose qui ne s'entend pas dans votre générosité,
05:56 aussi au micro, au cas de Mérade, et qui ne s'entend pas dans la bande-annonce,
05:59 c'est que vous jouez un personnage très sombre, cynique,
06:01 intéressé par l'argent, intéressé au passage par les rencontres d'un soir.
06:04 - Désagréable.
06:05 - Il est méfiant, manipulateur, un peu salopard.
06:07 - Il faisait pas, au début.
06:08 - Il paye pas sa pension alimentaire.
06:09 C'est intéressant à jouer.
06:10 - Oui, mais surtout, il a un fils qui est champion de MMA,
06:13 qui a pris le parti de sa mère et qui tape son père.
06:15 Pour récupérer la pension alimentaire.
06:17 J'ai jamais vu ça, moi.
06:18 - Ça existe pas, en vrai.
06:20 - On y croit.
06:21 - Alors, vous l'avez joué...
06:22 - Ça existe pas, on sait pas.
06:23 - Vous l'avez joué comme un salopard,
06:24 ou est-ce que vous avez, comme on dit dans le métier,
06:26 vous avez essayé de le sauver ?
06:27 - Bon, il n'y a pas à le sauver.
06:29 Je l'ai pris comme il m'est arrivé dans la figure, quoi.
06:33 C'est un personnage, effectivement...
06:35 En fait, c'est toujours très jubilatoire de jouer les personnages désagréables.
06:39 Antipathiques.
06:40 Parce que...
06:41 - Mais, alors, je vais vous citer un compliment de Danny Boon,
06:43 qui dit une chose très gentille sur vous.
06:45 Il dit "c'est un peu à la Louis de Funès,
06:47 qui jouait des personnages très antipathiques,
06:49 et pourtant on l'aimait."
06:50 Ma question était, est-ce que vous l'avez joué comme un type antipathique,
06:53 ou comme quelqu'un qu'on va aimer ?
06:55 - Ben, c'est une question difficile, Philippe.
06:57 - Je me suis dit, c'est la meilleure, je la garde pour la deuxième partie.
06:59 - Je vous ai dit la question, je suis peut-être un acteur correct,
07:02 mais de là à travailler autant et autant,
07:04 me torturer pour jouer un type désagréable,
07:07 je me suis juste mis le costume,
07:09 j'avais un metteur en scène,
07:10 il y avait une idée de la scène,
07:11 j'ai une idée du personnage sur la globalité,
07:13 parce que moi je sais ce qui va y arriver,
07:15 mais au départ c'est un type, voilà,
07:17 qui est comme vous et moi,
07:18 à qui il arrive plein de merde,
07:20 et on sait pas s'il est désagréable parce qu'il est comme ça,
07:22 ou c'est parce que justement il a plein de problèmes.
07:24 Et en plus, l'arrivée de ce demi-frère qui va lui récupérer son appartement,
07:27 ça peut pas en faire quelqu'un d'agréable.
07:29 Mais j'ai joué ça, pardon,
07:31 mais de manière instinctive,
07:33 comme je le fais assez souvent.
07:35 - Quand Danny Boon arrive chez vous, on a qu'une envie,
07:36 c'est qu'il dégage évidemment,
07:37 parce qu'on a installé votre personnage,
07:39 donc on sent que c'est une sorte de boulet,
07:41 et vous dites que vous avez vraiment réussi à cerner votre personnage
07:44 en l'habitant chez Danny Boon.
07:46 - Oui, en fait, Danny m'a proposé de vivre chez lui,
07:50 pas que pour des raisons économiques, il faut bien le savoir,
07:52 mais parce qu'on avait beaucoup de scènes,
07:55 ces fameuses scènes de comédie, duos, de tandem,
07:58 où il y a de l'antagonisme fait naître de la comédie,
08:01 il fallait qu'on les ait parfaitement sur le bout de la langue,
08:04 là pour le coup, il fallait qu'on travaille.
08:06 Donc on se faisait tous les soirs en rentrée,
08:08 on travaillait, on essayait de s'endormir avec le texte, avec la scène,
08:12 et le lendemain, c'était beaucoup plus fluide.
08:15 - Surtout que dans le film, la coloc, c'est dans un petit studio
08:17 qui doit faire 25 mètres carrés, en tout cas c'est quoi ?
08:19 - Oui, chez Danny c'est un peu plus grand.
08:21 Un poil !
08:23 - Il n'a pas un canapé ?
08:25 - Non, j'avais une chambre très sympa, avec une petite bouteille d'eau.
08:29 - Pendant combien de temps vous habitez chez lui ?
08:30 - Le temps du tournage, c'était presque un mois et demi à peu près.
08:33 - Et d'après les infos de tournage, il n'y avait pas que des bouteilles d'eau ?
08:36 - Bah oui, mais s'il faut tout balancer, moi je ne sais pas à quelle heure il est là, ça va on peut dire.
08:39 - Alors, je vais vous dire, c'est dans match, vous faites tous les deux la une de match.
08:43 Danny Boon, Cadmé Rad, Caniboon, Madmé Rad.
08:46 Danny Boon, Cadmé Rad, amis pour de vrai,
08:48 ils partagent l'affiche aussi, leurs vacances,
08:50 interview croisés, donc là on apprend que vous n'avez pas bu que de l'eau.
08:54 - Bah non, attendez, d'abord, le soir, je suis désolé,
08:57 rien n'empêche, une fois qu'on est à la maison,
08:59 on va prendre un petit verre quand même de vin, de bon vin.
09:02 Danny a une cave très accueillante,
09:04 bon, il ne pensait pas que j'aimais autant le vin, donc...
09:06 En gros, on a vidé la cave, mais en un mois et demi, donc voilà,
09:10 on a vidé le frigo, parce que voilà, on mangeait,
09:12 et je faisais la cuisine moi le soir,
09:14 et lui le matin il faisait mon petit-déj.
09:16 C'était sympa, on se faisait des...
09:18 Non, non, c'était chouette, franchement,
09:20 et puis je vous assure qu'au bout, il y avait du travail.
09:22 - Il vous faisait un petit-déj de ch'ti comme dans "Bienvenue chez le ch'ti" ou pas ?
09:25 - Non, non, non, non. - C'était ça ?
09:27 - Il raconte quand même qu'il a halluciné, qu'à l'heure où il est arrivé,
09:29 de son sac, il a sorti des pantoufles.
09:31 - Oui, oui, oui, je sais, mais c'est fou comme ça !
09:33 - Non mais quand on vous connaît en batteur de rock, on ne vous imagine pas en pantoufle.
09:35 - Ben je suis désolé, je suis sûr que...
09:37 Je vais dire n'importe quoi, John Bonham,
09:39 le batteur de Led Zep,
09:41 avec des pantoufles. - Il a des pantoufles ?
09:43 - Ça m'étonnerait. - Mais bien sûr que si !
09:45 Yann Paice, le batteur de Deep Purple, je l'ai vu en pantoufle.
09:47 Bon, c'est des pantoufles avec des têtes de mort, mais...
09:49 [Rires]
09:51 Vous savez pas, il y a pantoufles et pantoufles.
09:53 Et puis d'abord, vous savez pas à quoi ressemblent mes pantoufles ?
09:55 - Elles ressemblent à quoi ?
09:57 - Ben des pantoufles, mais elles sont confortables.
09:59 C'est surtout que quand j'arrive à la maison
10:01 chez quelqu'un, je sais pas moi,
10:03 en plus en vivant à Bruxelles,
10:05 il pleut beaucoup là-bas, donc on a les chaussures crottées.
10:07 On rentre pas chez les gens comme ça, "Salut, comment ça va ?
10:09 Dis donc, c'est chouette chez toi, allez, on t'accava va ?"
10:11 Non, on commence par enlever ses chaussures.
10:13 - On met ses charantaises ? - C'est pas des charantaises.
10:15 - Ah, c'est des pantoufles. - C'est des pantoufles.
10:17 - On va parler... - Comment on fait ?
10:19 - Je pensais pas entendre le nom de Yann Pei, ça m'a fait trop plaisir
10:21 d'entendre ce nom. Quel batteur !
10:23 - Deep Purple. - Deep Purple, batteur gaucher.
10:25 On va parler musique avec Stéphanie Loir, on va parler littérature
10:27 avec Nicolas Carreau. Culture Média continue
10:29 sur Europe. On a tout de suite.