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Transcription
00:00 des enquêtes des administratifs. J'ai rendu public d'ailleurs leur conclusion.
00:03 Il y a des enquêtes judiciaires, on verra bien ce qu'elles diront.
00:05 Ce qui est sûr, c'est que là encore, ce sont des polémiques
00:08 qui confinent parfois la manipulation.
00:11 Vos confrères du Figaro ont fait un excellent travail journalistique
00:14 pour démontrer que rien ne pouvait qu'évidemment, de façon organisée,
00:19 les gendarmes empêcher les soignants d'aller soigner des personnes.
00:23 Qu'est-ce qui se passe, Mme Mabouk, dans ce cas très précis ?
00:25 D'abord, je voudrais rappeler que lorsqu'on fait des manifestations,
00:28 on est responsable de ce qui s'y passe.
00:30 Et donc, c'est à ceux qui organisent des manifestations,
00:33 comme un concert, comme n'importe quelle manifestation,
00:34 de prévoir des secours. Voilà, ce n'a pas été le cas.
00:37 C'est donc la préfète, malgré le fait qu'elle ait interdit
00:40 la manifestation et qu'elle l'ait dite par deux fois
00:42 avant ce week-end de Seine-Solide, qui a organisé des secours.
00:45 Il y avait des pompiers, il y avait du SMUR, des médecins urgentistes,
00:48 et il y avait des médecins de la Gendarmerie nationale.
00:50 Les médecins du GIGN sont allés soigner les manifestants,
00:54 sont allés soigner certaines personnes qui étaient au milieu des casseurs.
00:57 - Les médecins militaires s'étaient exprimés à ce sujet ?
00:59 - Tout le monde s'est exprimé. Le SMUR, les pompiers, la préfète,
01:03 les gendarmes, mais on continue à écrire n'importe quoi.
01:05 - Pas besoin d'enquête pour qu'on s'en aille à la polémique et écrire quelque chose.
01:08 - On continue à écrire n'importe quoi. Il y a des enquêtes judiciaires.
01:10 Moi, je comprends très bien que les gens qui ont leurs enfants
01:12 ou leurs proches qui sont entre la vie et la mort
01:14 soient de savoir ce qui s'est dit. Moi, je le respecte tout à fait.
01:16 La justice dira ce qui s'est dit, évidemment.
01:19 Mais ce que je veux dire, c'est que ce qui s'est passé,
01:21 c'est que les médecins du GIGN qui sont allés parmi les casseurs
01:24 pour soigner ces personnes ont été eux-mêmes attaqués.
01:28 Eux-mêmes attaqués. Et ce moment incroyable où le médecin du GIGN
01:33 va soigner parmi les casseurs quelqu'un qui est blessé,
01:36 qui se fait attaquer, ne fait l'objet d'aucune condamnation politique
01:39 de la part des gens qui, d'ailleurs, pourraient contester ici ou là les bassines.
01:44 Comment peut-on être à ce point idéologue contre la police et la gendarmerie,
01:48 contre nos institutions, pour ne pas distinguer le combat contre les bassines
01:53 du fait qu'un médecin du GIGN se fasse agresser lorsqu'il vient soigner quelqu'un ?

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