• l’année dernière
La réconciliation entre Oliver Faure et Nicolas Mayer-Rossignol vol en éclat un mois après l'élection du secrétaire général. La division concerne les "pro" et les "anti" NUPES. 

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Transcription
00:00 L'alliance conclut fin janvier entre Olivier Faure réélu à la tête du parti socialiste
00:04 et Nicolas Maillard-Rossignol, son numéro 2, n'aura duré que quelques semaines.
00:08 Ce dernier dénonce un coup de force du premier secrétaire qui n'a retenu ce samedi aucun
00:13 représentant de son courant refondation dans la nouvelle direction pléthorique du parti.
00:18 Quand on compose une équipe, il y a deux écueils, la purge et l'armée mexicaine.
00:21 Là, malheureusement, j'ai peur qu'on ait cumulé les deux.
00:24 C'est une élection partielle en Ariège qui a révélé les désaccords.
00:28 Pour respecter son engagement avec la NUPES, le parti socialiste soutient Bénédicte Thorin
00:33 candidate la France insoumise alors que le maire de Rouen est en faveur de la dissidente
00:37 socialiste Martine Frauger.
00:39 Olivier Faure dénonce un problème de loyauté.
00:42 Cette question, je le dis, elle a été évoquée avant Marseille, entre nous, pendant Marseille,
00:47 entre nous, comme l'une des conditions à l'accord.
00:51 Et donc, voir que cette condition-là n'est pas respectée, voir que se multiplient les
00:56 accros dans la presse, et bien effectivement, je n'ai pas de problème avec le fait que
01:01 les gens disent des choses différentes de moi, mais je ne veux pas qu'on puisse dire
01:05 qu'il y a une direction qui ne sait pas où elle va.
01:08 Il défend que le parti ne doit avoir qu'une seule ligne politique.
01:11 Pour le moment, Nicolas Maillard-Rossignol, seul représentant de son courant, reste premier
01:15 secrétaire délégué.
01:17 Mais pour combien de temps encore ?
01:19 [Musique]
01:23 [SILENCE]

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