• l’année dernière
« Je sais de quoi je parle quand je parle de violences conjugales », a lancé, visiblement émue, la cheffe de Renaissance à l’Assemblée, mardi, au moment de défendre un projet de loi de son groupe qui à imposer une peine d’inéligibilité à davantage d’auteurs de violences, notamment conjugales et familiales. Une proposition de loi jugée opportuniste, par certains députés de l’opposition. Les députés ont finalement rejeté la proposition par 140 voix contre.

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Transcription
00:00 Madame O'Gonno, ça suffit, s'il vous plaît, vous arrêtez d'interpeller madame la rapporteure.
00:04 Je sais exactement de quoi je parle quand je parle des violences conjugales.
00:07 Remettre en cause la sincérité qui est la mienne sur ce combat comme vous l'avez fait.
00:15 Je ne peux pas continuer à le laisser passer.
00:18 (Applaudissements)
00:46 Je n'accepte pas et je n'ai pas à accepter, aucune femme dans cet hémicycle n'a à accepter
00:54 les procès en opportunisme politique sur la question des violences.
00:57 Aucune femme.
00:59 Entendre des interpellations à l'extrême gauche comme à l'extrême droite sur la mise
01:06 en doute de la sincérité du combat que nous devrions tous porter sur la question...
01:12 Non, madame O'Gonno, je ne l'instrumentalise pas.
01:16 Je ne l'instrumentalise pas.
01:22 Parce que madame O'Gonno, je sais de quoi je parle.
01:24 Madame O'Gonno, ça suffit, s'il vous plaît, vous arrêtez d'interpeller madame la rapporteure.
01:28 (Rires)

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