• l’année dernière
Le président de l'Institut Apollon, Jean Messiha, au sujet du harcèlement à l'école : «Aujourd'hui, on sait très bien que le harcèlement se fait à l'école, mais se poursuit sur les réseaux sociaux [...] Quand on a des preuves que l'enfant est harcelé, il faut montrer ces preuves à l'Education nationale, et s'il ne se passe rien, porter plainte à la police». 

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Transcription
00:00 Qu'est-ce que ça aurait été si l'affaire n'avait pas été mientisée ?
00:02 On aurait pu arriver à un nouveau drame.
00:04 Peut-être que cet enfant aurait été poussé jusqu'au suicide.
00:06 D'ailleurs, c'est ce qu'il avait exprimé...
00:08 Alors là, l'enfant n'allait plus à l'école, justement.
00:10 Justement, c'est pour ça.
00:11 Ils l'ont retiré de l'école avant, peut-être, que ce drame n'arrive.
00:14 Donc moi, j'aimerais...
00:15 Si vous voulez, la chose, c'est que les parents qui ont des enfants harcelés,
00:19 aujourd'hui, on sait très bien que le harcèlement, il se fait à l'école,
00:22 mais il se poursuit sur les réseaux sociaux.
00:24 Donc on a des traces.
00:25 C'est ça qui fait que le harcèlement devient insupportable,
00:29 c'est que ça se continue, c'est 24 heures sur 24,
00:32 à l'école et en dehors de l'école.
00:34 Donc quand on a des preuves que l'enfant est harcelé,
00:36 il faut que les parents montent ces preuves à l'éducation nationale,
00:40 au personnel des écoles concernées,
00:42 et si jamais il ne se passe rien, il faut porter plainte à la police.
00:46 Parce que ça peut conduire, encore une fois, à des drames,
00:49 et ça a déjà conduit à des drames.
00:51 Donc si une telle cause qui a été déclarée cause nationale
00:54 par les plus hautes autorités de l'État,
00:56 eh bien aboutit encore à ce genre d'événement,
00:59 alors qu'est-ce que c'est que les causes qui ne sont pas nationales ?
01:01 Vous comprenez, c'est scandaleux.
01:03 [Musique]
01:07 [SILENCE]

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