Historiquement, on pensait que les femmes étaient moins intelligentes que les hommes puisqu’elles avaient un plus petit cerveau.
Il a ensuite été démontré que la taille du cerveau n’était pas proportionnelle au niveau d’intelligence.
En réalité, les hommes et les femmes seraient égaux sur ce sujet.
La différence se fait plutôt au niveau de la perception de leur intelligence.
Les hommes auraient tendance à se croire plus intelligents qu’ils ne le sont vraiment tandis que les femmes sous-estimeraient leurs capacités intellectuelles.
C’est ce qu’a révélé une étude de l’université d’Arizona.
Les chercheurs ont demandé à 200 étudiants en biologie (une discipline scientifique jugée plus ouverte aux femmes) d’estimer leur QI avant de passer un test pour mesurer leurs capacités cognitives.
Conclusions : les étudiantes souffrent davantage d’un manque de confiance sur leurs aptitudes que leurs homologues masculins.
"Cet état d'esprit est sans doute enraciné chez les étudiantes depuis qu'elles ont commencé leurs études." Sara Brownell, coauteur de la recherche
C’est ce qu’on appelle "l’humilité féminine", en opposition à "l’arrogance masculine".
L’étude a également montré que les étudiants dont l’anglais n'était pas la langue maternelle sous-estimaient eux-aussi leur facultés.
Mais cette perception peut avoir un impact négatif sur la motivation, les choix d’orientation et la réussite scolaire.
Cela influe également sur la participation en classe : les étudiants se sentant plus intelligents participent jusqu’à 3 fois plus que les autres qui craignent d’être jugés stupides ou de ne pas réussir à s’exprimer correctement.
Or la participation est essentielle dans le processus d’apprentissage et dans les performances des étudiants.
Il a ensuite été démontré que la taille du cerveau n’était pas proportionnelle au niveau d’intelligence.
En réalité, les hommes et les femmes seraient égaux sur ce sujet.
La différence se fait plutôt au niveau de la perception de leur intelligence.
Les hommes auraient tendance à se croire plus intelligents qu’ils ne le sont vraiment tandis que les femmes sous-estimeraient leurs capacités intellectuelles.
C’est ce qu’a révélé une étude de l’université d’Arizona.
Les chercheurs ont demandé à 200 étudiants en biologie (une discipline scientifique jugée plus ouverte aux femmes) d’estimer leur QI avant de passer un test pour mesurer leurs capacités cognitives.
Conclusions : les étudiantes souffrent davantage d’un manque de confiance sur leurs aptitudes que leurs homologues masculins.
"Cet état d'esprit est sans doute enraciné chez les étudiantes depuis qu'elles ont commencé leurs études." Sara Brownell, coauteur de la recherche
C’est ce qu’on appelle "l’humilité féminine", en opposition à "l’arrogance masculine".
L’étude a également montré que les étudiants dont l’anglais n'était pas la langue maternelle sous-estimaient eux-aussi leur facultés.
Mais cette perception peut avoir un impact négatif sur la motivation, les choix d’orientation et la réussite scolaire.
Cela influe également sur la participation en classe : les étudiants se sentant plus intelligents participent jusqu’à 3 fois plus que les autres qui craignent d’être jugés stupides ou de ne pas réussir à s’exprimer correctement.
Or la participation est essentielle dans le processus d’apprentissage et dans les performances des étudiants.
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