La députée Sandrine Rousseau était l'invitée d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce mardi, au lendemain des premiers débats à l'Assemblée sur le projet de loi retraites.
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00:00 Mais en quoi j'ai fait justice à Pauline Malard ?
00:02 - C'est-à-dire pouvoir décider vous ce qui est bien, ce qui est pas bien, ce qu'il faut dire, pas dire,
00:05 même si ces femmes ne souhaitent pas elles-mêmes le faire.
00:07 - Mais en quoi j'ai fait justice ?
00:09 J'ai soutenu la parole d'une femme.
00:11 J'ai soutenu la parole d'une femme.
00:13 Et c'est ça que vous me reprochez aujourd'hui.
00:15 J'ai soutenu la parole d'une femme.
00:17 Et je continuerai à le faire.
00:19 Et je vous propose qu'on passe sur un autre sujet, mais je continuerai à soutenir la parole des femmes.
00:23 - C'était le patron de votre parti, vous n'étiez d'ailleurs pas d'accord politiquement.
00:26 Vous n'avez pas instrumentalisé cette histoire à des points politiques.
00:30 - On peut tous les clicher comme des perles sur un collier, pas de problème.
00:34 Si vous pensez réellement que tout le combat que je mène depuis des années n'est qu'instrumentalisation politique,
00:39 alors c'est votre droit.
00:41 Moi je vous dis, jamais je ne lâcherai l'égalité femmes-hommes,
00:43 jamais je ne lâcherai la lutte contre les violences faites aux femmes.
00:45 Et oui, les violences psychologiques sont un sujet peu reconnu dans notre société.
00:50 - Je vous pose des questions très précises.
00:52 - C'est un sujet qui est très réconnu dans notre société et qui mérite encore d'être instruit, d'être regardé.
00:56 Parce que oui, il y a beaucoup de femmes qui souffrent de ces violences psychologiques.
00:59 Parce qu'il y a beaucoup de femmes qui sont humiliées dans les relations qu'elles ont avec les conjoints.
01:04 Et c'est une forme de violence.