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00:00 Tu as eu rupture de frein, tu vas chez le fabricant et le fabricant lui dit...
00:04 - Je veux bien laisser les... - Non, non, mais je termine là-dessus.
00:08 - Je connais bien André Bercoff, j'ai du respect pour tout le monde, je suis invité pour un "Face au Baba", "Face aux Français".
00:17 - Oui, mais attendez, "Face aux Français", commencez à voir ce que vous avez dit, M. Mérent, sur les vaccins.
00:23 - André Bercoff, vous voulez qu'on discute de ce que les uns et les autres ont dit ?
00:28 - Oui, absolument. - Aucun problème.
00:29 - Absolument.
00:30 - Je crois que c'est vous qui aviez commis un tweet vers la fin de l'année 2021, vous parliez, je crois, de solution finale.
00:36 - Si bien vos services ont bien travaillé, allez-y.
00:38 - Non, non, c'est juste que, vous savez, j'ai beaucoup travaillé moi-même.
00:40 - Oui.
00:41 - Je crois que vous avez parlé de solution finale en lien avec la vaccination. Vous pouvez nous l'expliquer ?
00:44 - Oui, je peux m'expliquer absolument.
00:46 - Alors, allez-y, parce que c'est important quand on balance des choses comme ça, décaquéquer les deux frontes, ça passe très bien.
00:50 - Tout à fait, tout à fait. Alors, vous le prenez comme ça.
00:52 Alors, moi, je vous dis, ce que vous avez dit sur les vaccins, et je vais vous citer aussi.
00:56 - Non, mais monsieur Bercov...
00:57 - La solution finale, oui, j'ai fait annexer, parce que j'étais tellement indigné par la manière dont on traitait les non-vaccinés,
01:04 quand votre président, puisque vous parlez de ça, a dit dans Le Parisien, votre président bien-aimé, dont vous êtes le mieux pour parole.
01:11 - Donc vous avez bien parlé de la solution finale à partir de la vaccination.
01:13 - Attendez, quand il a dit...
01:14 - C'est important de savoir.
01:15 - Exactement.
01:16 - Qui parle et d'où on parle.
01:17 - J'ai envie d'emmerder les vaccinés. J'ai envie. Il n'a pas dit « j'emmerde les non-vaccinés ».
01:20 Il a dit « j'ai envie d'emmerder les non-vaccinés ».
01:23 - Ça m'a fait réagir.
01:24 - J'ai entendu que vous regrettez vos propos, c'est ça ?
01:26 - Pardon ? J'ai dit que j'avais été excessif sur le mot de solution finale, mais je ne regrette aucun de mes propos.
01:31 - Mais sur le mode de pensée qu'il y a derrière, excessif ou pas ?
01:32 - Pardon ?
01:33 - Sur le mode de pensée, de comparer la vaccination à la solution finale ?
01:35 - Ce n'a rien à faire avec le mode de pensée, c'est une expression. N'essayez pas de prendre le petit détail pour l'essentiel.
01:40 - Monsieur Bercov, votre carrière contemporaine n'est pas faite de détails.
01:44 - Non, mais parce que...
01:45 - Elle est faite, pardonnez-moi, de prises de position complotistes, sans arrêt à revers de l'histoire.
01:50 - Monsieur Bercov, vous avez...
01:51 - Qu'est-ce qui est complotiste dans ce que je dis ?
01:53 - Je ne sais pas...
01:54 - Dites-moi, attendez, attendez, attendez, c'est hallucinatoire.
01:56 - Qui parle ?
01:57 - Vous avez parlé pendant deux heures, vous avez dit beaucoup de choses.
02:00 - Non, mais c'est sans fasse, ça ne m'a pas marré.
02:01 - Je vais vous dire, vous êtes vraiment...
02:03 - Monsieur Bercov, je vais vous répondre que vous ne vouliez au non.
02:05 - Pardon ?
02:06 - La question c'est qui parle. Moi, vous savez qui parle.
02:07 - Qui parle ?
02:08 - Vous savez avec quelle conviction je viens devant vous et avec qui je parle.
02:10 - Oui, quelle conviction, car vous ne le savez pas, vous ne le savez pas, ce qui se passe dans ce petit avis.
02:13 - Vous avez salué, je crois, d'une manière assez originale, vous me dites si je me trompe, qu'est-ce que vous avez pensé ?
02:19 Vous lancez sur plusieurs sujets pour qu'on voit qui parle, d'accord ?
02:22 - Oui, allez-y.
02:23 - Parce que je vous connais bien aussi, figurez-vous, je vous lis de temps en temps.
02:25 - Oui, c'est très bien.
02:26 - Et je connaissais aussi votre passé, pour lequel j'avais du respect, dans un passé lointain.
02:30 Et j'aimerais comprendre les mécanismes par lesquels, aujourd'hui, vous en arrivez, à saluer l'attaque des bâtiments publics officiels au Brésil,
02:37 après la victoire démocratique de Lula, par exemple.
02:39 - Ah, c'est bizarre.
02:40 - J'aimerais...
02:41 - Je vais vous faire avec l'autre sujet.
02:43 - Parce que c'est qui parle, M. Bercov ?
02:44 - Vous évitez la chute.
02:45 - Parce que j'ai tapé votre nom sur Wikipédia, qui est marqué "faire-competitif réactionnaire".
02:48 - Non, parce que vous n'avez pas envie de dire, Olivier Véran, tous les mensonges que vous avez proférés pendant 3 ans de compétition.
02:52 - Non, c'est que les gens comme vous, j'ai eu à frôler avec eux en 3 ans, et je parle très tranquillement.
02:55 - Olivier Véran, vous avez menti au français.
02:56 - Je parle très tranquillement.
02:57 - Vous avez menti au français.
02:58 - Et ça m'énerve.
02:59 - Et vous avez... Alors, vous allez chercher dans quelques trucs...
03:00 - Mais quelle est votre question, André, pour Olivier Véran ?
03:02 - Moi, j'ai pas de question, Olivier Véran. Je voulais dire simplement qu'Olivier Véran...
03:05 - Les gens comme M. Bercov n'ont jamais de question.
03:06 - Je suis comme Stone.
03:07 - C'est comme Stone, mais en moins d'arc-à-arcs.
03:10 - Il n'y a jamais de question. Il n'y a que des affirmations.
03:13 - Je veux dire simplement... Pardon.
03:16 - C'est Stone, mais en moins d'arc-à-arcs.
03:18 - Je veux dire simplement à Olivier Véran que sa gestion du Covid a été une gestion tout à fait lamentable.
03:25 Et vous savez pourquoi ? Et je reviens à ce qui s'est passé avec les retraites.
03:29 - Mais du coup, on parle de Trump à ce fait ou pas ?
03:31 - Pourquoi il y a une méfiance...
03:32 - On parle de Trump et de la taille du capital ?
03:34 - Pardon ?
03:35 - Mais vous êtes intaricable sur tous les sujets, M. Bercov.
03:37 - Non, non, mais je...
03:38 - Mais vous êtes jamais du bon côté de l'histoire.
03:39 - Mais pourquoi vous fuyez comme ça ?
03:40 - Ah, mais non. Je vous dis...
03:41 - Pourquoi, quand on vous met face à tout ce que vous avez dit ?
03:43 - En fait, la question, c'est que vous savez, j'ai du respect pour le restaurateur, quand il m'engueule tout à l'heure.
03:46 - Oui.
03:47 - Parce que j'imagine le restaurateur qui est derrière, qui passe ses heures de jour et de nuit,
03:50 qui est dans les galères, qui est en panique, etc. Je vous le dis, M. Bercov, aucun respect pour la façon que vous avez aujourd'hui
03:57 d'exercer le métier que vous avez exercé hier d'une autre manière.
04:00 - Écoutez, moi, je travaille dans une radio où je vois les témoins et je vois en France entière,
04:06 et dis-moi ce qu'ils me disent de la manière.
04:09 - Je vous renvoie à votre propre page Wikipédia, vous n'avez même pas modifié.
04:12 - Vous avez été le fidèle mensonger, le fidèle serviteur de tous les mensonges.
04:17 - M. Bercov est un compliment et c'est le premier de la série.
04:20 - C'est très bien.
04:21 - Je vous en remercie.