#«Adieu #Sasha #cœurs #toujours»
https://gotopnews.com/post/1469314
"Nous pouvons confirmer qu'une enquête est en cours. Compte tenu la nature des faits, qui relèvent de la vie privée, nous ne ferons pas d'autres commentaires", conclut le parquet Bruxelles. Dans cette école, les élèves ont le droit de sortir, notamment parce qu'elle se situe sur plusieurs sites. Les élèves quittent ainsi régulièrement premier site pour se rendre sur le deuxième ou troisième site. Il y a une vraie confiance des élèves, dans le cadre du projet pédagogique. Il y a environ 1 000 élèves du secondaire. "C'est arrivé pendant une pause. Elle est allée aux toilettes et 10 minutes plus tard tout le monde était inquiet. On a cherché cette jeune fille dans toute l'école pendant une vingtaine de minutes jusqu'à ce qu'on apprenne qu'il y avait eu 700 mètres plus loin, soit moins de 10 minutes à pied, l'épave du train. Lorsque les élèves demandent à aller aux toilettes, s'ils ne reviennent pas au bout 10 minutes, l'équipe pédagogique est inquiète, l'élève a peut-être fait un malaise , il y a une vraie bienveillance envers les élèves de la part enseignants et d'autres étudiants », poursuit-il. "C'est un drame pour tout le monde. Les parents de la victime veulent que nous soyons extrêmement vigilants à l'éventualité d'une nouvelle qui circule. Depuis mercredi matin, tout est mis en place pour ce faire avec les équipes du PMS et de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui sont spécialisés dans la gestion des drames en milieu scolaire. De plus, une enquête policière est en cours. Nous n'avons aucune connaissance de la ou des cause de ce drame. Nous laissons police faire son travail et nous mettons tout en œuvre pour que la police peut le faire », explique le docteur Marc Decroly, président du Pouvoir organisateur de l'école Decroly. L'adolescente a quitté ses cours à l'école Decroly, Drève des Gendarmes, dans l'après-midi, pour se suicider une demi-heure plus tard sur les voies ferrées. Selon des sources proches l'enquête en cours, Sasha, qui était en secondaire 3, a demandé pouvoir aller aux toilettes avant se rendre à pied station Vivier d'Oie, située moins d'un kilomètre plus loin. . Toujours selon ces mêmes sources, famille victime serait dans l'incompréhension plus totale, n'ayant aucune connaissance ou des cause son geste désespéré. Sur le quai de la station Vivier d'Oie, des dizaines de messages colorés rendent hommage à Sasha. "Au revoir Sacha ; Dans nos coeurs pour toujours; Une étoile de plus dans le ciel ; Ton rire résonne dans ma tête; Vous étiez une personne merveilleuse; Je t'aime Sasha; Courage famille » Toutes ces phrases remplies d'amour entourent les fleurs, la bougie, et les attentions à famille attachées l'un des poteaux du quai. Retrait, changement radical… : ces signes qui peuvent donner l'alerte Le suicide d'un jeune est toujours un drame. Et l'asbl "Un pass dans l'impasse", se
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"Nous pouvons confirmer qu'une enquête est en cours. Compte tenu la nature des faits, qui relèvent de la vie privée, nous ne ferons pas d'autres commentaires", conclut le parquet Bruxelles. Dans cette école, les élèves ont le droit de sortir, notamment parce qu'elle se situe sur plusieurs sites. Les élèves quittent ainsi régulièrement premier site pour se rendre sur le deuxième ou troisième site. Il y a une vraie confiance des élèves, dans le cadre du projet pédagogique. Il y a environ 1 000 élèves du secondaire. "C'est arrivé pendant une pause. Elle est allée aux toilettes et 10 minutes plus tard tout le monde était inquiet. On a cherché cette jeune fille dans toute l'école pendant une vingtaine de minutes jusqu'à ce qu'on apprenne qu'il y avait eu 700 mètres plus loin, soit moins de 10 minutes à pied, l'épave du train. Lorsque les élèves demandent à aller aux toilettes, s'ils ne reviennent pas au bout 10 minutes, l'équipe pédagogique est inquiète, l'élève a peut-être fait un malaise , il y a une vraie bienveillance envers les élèves de la part enseignants et d'autres étudiants », poursuit-il. "C'est un drame pour tout le monde. Les parents de la victime veulent que nous soyons extrêmement vigilants à l'éventualité d'une nouvelle qui circule. Depuis mercredi matin, tout est mis en place pour ce faire avec les équipes du PMS et de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui sont spécialisés dans la gestion des drames en milieu scolaire. De plus, une enquête policière est en cours. Nous n'avons aucune connaissance de la ou des cause de ce drame. Nous laissons police faire son travail et nous mettons tout en œuvre pour que la police peut le faire », explique le docteur Marc Decroly, président du Pouvoir organisateur de l'école Decroly. L'adolescente a quitté ses cours à l'école Decroly, Drève des Gendarmes, dans l'après-midi, pour se suicider une demi-heure plus tard sur les voies ferrées. Selon des sources proches l'enquête en cours, Sasha, qui était en secondaire 3, a demandé pouvoir aller aux toilettes avant se rendre à pied station Vivier d'Oie, située moins d'un kilomètre plus loin. . Toujours selon ces mêmes sources, famille victime serait dans l'incompréhension plus totale, n'ayant aucune connaissance ou des cause son geste désespéré. Sur le quai de la station Vivier d'Oie, des dizaines de messages colorés rendent hommage à Sasha. "Au revoir Sacha ; Dans nos coeurs pour toujours; Une étoile de plus dans le ciel ; Ton rire résonne dans ma tête; Vous étiez une personne merveilleuse; Je t'aime Sasha; Courage famille » Toutes ces phrases remplies d'amour entourent les fleurs, la bougie, et les attentions à famille attachées l'un des poteaux du quai. Retrait, changement radical… : ces signes qui peuvent donner l'alerte Le suicide d'un jeune est toujours un drame. Et l'asbl "Un pass dans l'impasse", se
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