Case Le Graë-Zidane: "Il ne risquera pas un licenciement humiliant" ... Le Graët près d'agir sa défa
- il y a 2 ans
#CaseLe #GraëZidane #Il
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Le ministre des Sports en a rêvé, le Comex l'a fait. Enfin presque. Sommé régler compte Noël Le Graët, empêtré depuis dimanche dans une tornade d'ennuis depuis ses propos sacrilèges contre le divin chauve, comité exécutif la Fédération française football a décidé se réunir en urgence mercredi matin pour tenter renflouer les Navire FFF qui prend l'eau toutes parts. Ce Comex, instance décisionnelle FFF composée douze membres élus sur liste Noël Le Graët en mars 2021 avait jusqu'ici réputation ne jamais prêter l'oreille à toute-puissance du grand patron. Mais l'ampleur du scandale de dimanche a eu raison de leur torpeur. Chaleureusement invités dès lundi soir par Amélie Oudéa-Castéra à "prendre leurs responsabilités", les membres du Comex ont réussi à convaincre Noël Le Graët de la nécessité de se réunir d'urgence. Outre les commentaires sur Zidane, il sera également question prolongation Didier Deschamps au poste sélectionneur l'équipe France, une décision prise unilatéralement par NLG et annoncée directement lors l'assemblée générale FFF, sans même avoir pris peine d'informer les membres du Comex qu'il avait pourtant rencontrés veille. « Il aurait été bien de les prévenir avant la réunion, nous glisse un ancien membre de la fédération. Là, ils ont eu l'impression d'être mis devant le fait accompli. Ce Comex extraordinaire sera donc l'occasion de se dire les choses dans les yeux. Pourtant, la question centrale est ailleurs : si le ministère des Sports n'a pas le pouvoir de révoquer un président de Fédération, il a précisé par la voix d'Amélie Oudéa-Castéra que c'est ce qu'il attendait des treize membres du comité. , ces « personnalités qui ont démontré leur sens des responsabilités » selon le ministre. Le Graët face au Comex, la grande explication Peut-on donc imaginer la démission de Noël Le Graët ramenée à la raison par ses collaborateurs à l'issue de cette réunion extraordinaire ? « On fera le point quand tout sera sur la table. Le président, qui a été un grand dirigeant du football français pendant cinquante ans, prendra ses responsabilités. Il analysera la situation et il saura, sans même qu'on le lui dise et en lui tenant la main, ce qu'il faut faire », nous a-t-il dit mardi. Ça fait un moment que j'ai perdu les consignes pour Noël Le Graët, mais je n'imagine pas que ça continue, raconte un ancien membre de la maison FFF. Je l'imagine en train d'avoir un débat interne avec son Comex pour savoir dans quelles conditions il arrête, comment et ce qu'on met en place pour que ça se passe au mieux. Je ne le vois pas persister obstinément dans sa position et risquer une destitution humiliante après avoir convoqué une assemblée extraordinaire. » On demande à voir pourtant : plupart des 300 grands électeurs, pour la plupart issus du monde amateur qui ont triomphalement réélu l'homme l'
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Le ministre des Sports en a rêvé, le Comex l'a fait. Enfin presque. Sommé régler compte Noël Le Graët, empêtré depuis dimanche dans une tornade d'ennuis depuis ses propos sacrilèges contre le divin chauve, comité exécutif la Fédération française football a décidé se réunir en urgence mercredi matin pour tenter renflouer les Navire FFF qui prend l'eau toutes parts. Ce Comex, instance décisionnelle FFF composée douze membres élus sur liste Noël Le Graët en mars 2021 avait jusqu'ici réputation ne jamais prêter l'oreille à toute-puissance du grand patron. Mais l'ampleur du scandale de dimanche a eu raison de leur torpeur. Chaleureusement invités dès lundi soir par Amélie Oudéa-Castéra à "prendre leurs responsabilités", les membres du Comex ont réussi à convaincre Noël Le Graët de la nécessité de se réunir d'urgence. Outre les commentaires sur Zidane, il sera également question prolongation Didier Deschamps au poste sélectionneur l'équipe France, une décision prise unilatéralement par NLG et annoncée directement lors l'assemblée générale FFF, sans même avoir pris peine d'informer les membres du Comex qu'il avait pourtant rencontrés veille. « Il aurait été bien de les prévenir avant la réunion, nous glisse un ancien membre de la fédération. Là, ils ont eu l'impression d'être mis devant le fait accompli. Ce Comex extraordinaire sera donc l'occasion de se dire les choses dans les yeux. Pourtant, la question centrale est ailleurs : si le ministère des Sports n'a pas le pouvoir de révoquer un président de Fédération, il a précisé par la voix d'Amélie Oudéa-Castéra que c'est ce qu'il attendait des treize membres du comité. , ces « personnalités qui ont démontré leur sens des responsabilités » selon le ministre. Le Graët face au Comex, la grande explication Peut-on donc imaginer la démission de Noël Le Graët ramenée à la raison par ses collaborateurs à l'issue de cette réunion extraordinaire ? « On fera le point quand tout sera sur la table. Le président, qui a été un grand dirigeant du football français pendant cinquante ans, prendra ses responsabilités. Il analysera la situation et il saura, sans même qu'on le lui dise et en lui tenant la main, ce qu'il faut faire », nous a-t-il dit mardi. Ça fait un moment que j'ai perdu les consignes pour Noël Le Graët, mais je n'imagine pas que ça continue, raconte un ancien membre de la maison FFF. Je l'imagine en train d'avoir un débat interne avec son Comex pour savoir dans quelles conditions il arrête, comment et ce qu'on met en place pour que ça se passe au mieux. Je ne le vois pas persister obstinément dans sa position et risquer une destitution humiliante après avoir convoqué une assemblée extraordinaire. » On demande à voir pourtant : plupart des 300 grands électeurs, pour la plupart issus du monde amateur qui ont triomphalement réélu l'homme l'