33 preneurs d'otages tués au Pakistan après une longue opération anti-terroriste
- il y a 2 ans
# #33preneurs #dotagestués #Pakistanaprès
https://gotopnews.com/post/1166451
Trente-trois preneurs d'otages ont été tués mardi dans l'agression donnée par les forces spéciales pakistanaises pour libérer le poste de police de Bannu dans le nord-ouest du pays, qui avait été saisie depuis dimanche des Taliban Grouppakistan. Selon le ministre de la Défense, deux membres des forces spéciales pakistanaises ont également été tuées et "10 à 15" lors de l'opération lancée vers midi, selon le ministre de la Défense. "Tous les otages ont été publiés", a ajouté Khawaja Muhammad Asif, expliquant que "l'opération a terminé avec succès". Dimanche, plus de 30 membres du Tehreek-e-Taliban Pakistan Group , arrêtés pour soupçon de terrorisme, ont saisi les armes des officiers qui les ont interrogés au poste de police de Bannu dans la province de Khyber Pakhtunkhwa, nord-ouestdu Pakistan. Le ministre a déclaré que les forces spéciales sont intervenues lorsque les différences ont éclaté dans les talibans, comment traiter leurs otages. Les preneurs d'otages avaient exigé un passage sûr en Afghanistan en échange de la libération des otages, au moins huit policiers et chefs de renseignement militaire - avaient précédemment expliqué Muhammad Ali Saif, porte-parole du gouvernement provincial de Khyber Pakhtunkhwa. "Il y avait 33 terroristes de différents groupes emprisonnés dans les locaux du département du contre-terrorisme , quand l'un d'eux a frappé son gardien de but avec une brique il est allé aux toilettes et a déchiré son armeà lui », a expliqué la même source Les écoles, ainsi que les bureaux et les routes, avaient été fermées mardi dans la région et les points de contrôle mis en place dans les environs. Le TTP a revendiqué l'otage - sur ce territoire situé à la frontière avec l'Afghanistan où il est le plus fermement enraciné et a déclaré que deux policiers avaient été tués. L'un de leur porte-parole a déclaré à l'AFP que les forces spéciales avaient subi de lourdes pertes et n'avaient pas pu entrer dans le poste de police. Les autorités pakistanaises avaient demandé aux autorités afghanes d'aider la libération des otages, selon un haut responsable du gouvernement qui a demandé l'anonymat Le TTP, distinct des talibans afghans, mais mûri par la même idéologie, a mis fin à un cessez-le-feu fragile le 28 novembre avec Islamabad et a promis de mener des attaques dans tout le Pakistan. À 200 kilomètres au sud de Bannu, dans la ville de Wana, au moins 50 militants pakistanais talibans ont également pris d'assaut un poste de police du jour au lendemain de mardi. Le groupe a enfermé la police et saisi des armes avant que les troupes des forces frontalières ne soient intervenues pour reprendre le contrôle. Le TTP a revendiqué l'attaque, affirmant que deux policiers avaient été tués. Les autorités n'ont pas officiellement reconnu l'attaque. Entre sa création en 2007 et 2014,
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Trente-trois preneurs d'otages ont été tués mardi dans l'agression donnée par les forces spéciales pakistanaises pour libérer le poste de police de Bannu dans le nord-ouest du pays, qui avait été saisie depuis dimanche des Taliban Grouppakistan. Selon le ministre de la Défense, deux membres des forces spéciales pakistanaises ont également été tuées et "10 à 15" lors de l'opération lancée vers midi, selon le ministre de la Défense. "Tous les otages ont été publiés", a ajouté Khawaja Muhammad Asif, expliquant que "l'opération a terminé avec succès". Dimanche, plus de 30 membres du Tehreek-e-Taliban Pakistan Group , arrêtés pour soupçon de terrorisme, ont saisi les armes des officiers qui les ont interrogés au poste de police de Bannu dans la province de Khyber Pakhtunkhwa, nord-ouestdu Pakistan. Le ministre a déclaré que les forces spéciales sont intervenues lorsque les différences ont éclaté dans les talibans, comment traiter leurs otages. Les preneurs d'otages avaient exigé un passage sûr en Afghanistan en échange de la libération des otages, au moins huit policiers et chefs de renseignement militaire - avaient précédemment expliqué Muhammad Ali Saif, porte-parole du gouvernement provincial de Khyber Pakhtunkhwa. "Il y avait 33 terroristes de différents groupes emprisonnés dans les locaux du département du contre-terrorisme , quand l'un d'eux a frappé son gardien de but avec une brique il est allé aux toilettes et a déchiré son armeà lui », a expliqué la même source Les écoles, ainsi que les bureaux et les routes, avaient été fermées mardi dans la région et les points de contrôle mis en place dans les environs. Le TTP a revendiqué l'otage - sur ce territoire situé à la frontière avec l'Afghanistan où il est le plus fermement enraciné et a déclaré que deux policiers avaient été tués. L'un de leur porte-parole a déclaré à l'AFP que les forces spéciales avaient subi de lourdes pertes et n'avaient pas pu entrer dans le poste de police. Les autorités pakistanaises avaient demandé aux autorités afghanes d'aider la libération des otages, selon un haut responsable du gouvernement qui a demandé l'anonymat Le TTP, distinct des talibans afghans, mais mûri par la même idéologie, a mis fin à un cessez-le-feu fragile le 28 novembre avec Islamabad et a promis de mener des attaques dans tout le Pakistan. À 200 kilomètres au sud de Bannu, dans la ville de Wana, au moins 50 militants pakistanais talibans ont également pris d'assaut un poste de police du jour au lendemain de mardi. Le groupe a enfermé la police et saisi des armes avant que les troupes des forces frontalières ne soient intervenues pour reprendre le contrôle. Le TTP a revendiqué l'attaque, affirmant que deux policiers avaient été tués. Les autorités n'ont pas officiellement reconnu l'attaque. Entre sa création en 2007 et 2014,