De mi-juillet jusqu’à la fin de la saison, l’ATP a autorisé le off-court coaching dans le cadre d’un test. Les entraîneurs avaient la possibilité de parler à leur joueur et de le faire des gestes, chose que certains faisaient déjà avant mais de manière non-officielle et en se cachant souvent, donnant parfois lieu à des avertissements de la part de l’arbitre de chaise.
Une autorisation qui a beaucoup fait parler, certains se déclarant en faveur du off-court coaching comme l’entraîneur du numéro sept mondial Daniil Medvedev ou encore Stefanos Tsitsipas, et d’autres contre comme Nick Kyrgios, qui avait dit dans un tweet publié en juillet dernier que « la beauté du tennis est d’être seul sur le court. »
Dans le dernier épisode de l’Œil du Coach, Patrick Mouratoglou explique que l’autorisation du off-court coaching n’a rien changé sur le circuit pour le moment, avec des entraîneurs qui continuent quand même à se cacher pour coacher par manque d’habitude, ce qui nuit au spectacle. Selon le coach de Simona Halep et de Holger Rune, les entraîneurs mériteraient d’être mieux mis en avant.
LES MOMENTS-CLÉS DE L’ŒIL DU COACH :
20’’ : Les entraîneurs ne coachent pas vraiment pendant les matches, et c’est dommage car cela apporterait plus de spectacle.
35’’ L’intérêt du coaching est que cette interaction entre un entraîneur et un joueur soit très interessante pour les fans.
1’ « La façon dont on est autorisé à coacher actuellement sur le circuit n’est pas bonne » explique Patrick Mouratoglou.
1’28 : L’entraîneur français regrette que ce que la WTA avait mis en place n’existe plus, avec des coachs autorisés à venir sur le banc une fois par set pour parler à sa joueuse.
1’55 : Une telle interaction donnait plus de crédit aux entraîneurs, qui sont habituellement dans l’ombre.
2’12 : L’idéal serait d’avoir des entraîneurs sur le banc pendant l’intégralité d’une rencontre, comme en Coupe Davis ou en Fed Cup.
Une autorisation qui a beaucoup fait parler, certains se déclarant en faveur du off-court coaching comme l’entraîneur du numéro sept mondial Daniil Medvedev ou encore Stefanos Tsitsipas, et d’autres contre comme Nick Kyrgios, qui avait dit dans un tweet publié en juillet dernier que « la beauté du tennis est d’être seul sur le court. »
Dans le dernier épisode de l’Œil du Coach, Patrick Mouratoglou explique que l’autorisation du off-court coaching n’a rien changé sur le circuit pour le moment, avec des entraîneurs qui continuent quand même à se cacher pour coacher par manque d’habitude, ce qui nuit au spectacle. Selon le coach de Simona Halep et de Holger Rune, les entraîneurs mériteraient d’être mieux mis en avant.
LES MOMENTS-CLÉS DE L’ŒIL DU COACH :
20’’ : Les entraîneurs ne coachent pas vraiment pendant les matches, et c’est dommage car cela apporterait plus de spectacle.
35’’ L’intérêt du coaching est que cette interaction entre un entraîneur et un joueur soit très interessante pour les fans.
1’ « La façon dont on est autorisé à coacher actuellement sur le circuit n’est pas bonne » explique Patrick Mouratoglou.
1’28 : L’entraîneur français regrette que ce que la WTA avait mis en place n’existe plus, avec des coachs autorisés à venir sur le banc une fois par set pour parler à sa joueuse.
1’55 : Une telle interaction donnait plus de crédit aux entraîneurs, qui sont habituellement dans l’ombre.
2’12 : L’idéal serait d’avoir des entraîneurs sur le banc pendant l’intégralité d’une rencontre, comme en Coupe Davis ou en Fed Cup.
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