La Soprano Marie Perbost et le Choeur de Radio France interprètent, avec l'Orchestre national de France sous la direction de Fabien Gabel et l'organiste Karol Mossakowski, le Psaume XLVII op.38 composé en 1904 par Florent Schmitt.
Chanté en français, le texte reprend celui, liturgique, du Psaume 47. Le début de l’œuvre (« Gloire au Seigneur ») se fait fracassant entre les élans de l’orchestre, du chœur et de fanfares (on pense au « Tuba mirum » du Requiem de Berlioz, héritage assumé selon certains biographes de Schmitt). S’ensuit un développement toujours clamé, puis un passage moins vif mais encore animé. Puis vient le calme d’une mélodie orchestrale, laissant ensuite place à la soprano soliste (« La beauté de Jacob ») préparée par un solo de violon.
Chant ample et d’un large ambitus, accompagné de voix aériennes du chœur dans un mouvement allant s’élargissant. Après une transition d’orgue, la troisième section (« Dieu est monté ») commence par une mélodie chorale simple, huit mesures dans une harmonie, huit mesures dans une autre harmonie, qui ne manque pas d’effet. Les derniers instants se livrent à une danse frénétique au rythme en 5/4, pour enfin reprendre en conclusion la texture initiale de l’œuvre.
MARIE PERBOST soprano
KATIA LABÈQUE piano
MARIELLE LABÈQUE piano
KAROL MOSSAKOWSKI orgue
CHŒUR DE RADIO FRANCE
MARTINA BATIČ chef de chœur
ORCHESTRE NATIONAL DE FRANCE
FABIEN GABEL direction
Chanté en français, le texte reprend celui, liturgique, du Psaume 47. Le début de l’œuvre (« Gloire au Seigneur ») se fait fracassant entre les élans de l’orchestre, du chœur et de fanfares (on pense au « Tuba mirum » du Requiem de Berlioz, héritage assumé selon certains biographes de Schmitt). S’ensuit un développement toujours clamé, puis un passage moins vif mais encore animé. Puis vient le calme d’une mélodie orchestrale, laissant ensuite place à la soprano soliste (« La beauté de Jacob ») préparée par un solo de violon.
Chant ample et d’un large ambitus, accompagné de voix aériennes du chœur dans un mouvement allant s’élargissant. Après une transition d’orgue, la troisième section (« Dieu est monté ») commence par une mélodie chorale simple, huit mesures dans une harmonie, huit mesures dans une autre harmonie, qui ne manque pas d’effet. Les derniers instants se livrent à une danse frénétique au rythme en 5/4, pour enfin reprendre en conclusion la texture initiale de l’œuvre.
MARIE PERBOST soprano
KATIA LABÈQUE piano
MARIELLE LABÈQUE piano
KAROL MOSSAKOWSKI orgue
CHŒUR DE RADIO FRANCE
MARTINA BATIČ chef de chœur
ORCHESTRE NATIONAL DE FRANCE
FABIEN GABEL direction
Category
🎵
Musique