Retrouvez Désintox du lundi au jeudi, dans l'émission 28 minutes, à 20h sur Arte.
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Depuis plusieurs jours, de nombreux commentateurs relaient le constat alarmant du dernier rapport du GIEC, publié le 4 avril. Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat estime que si l’humanité veut “garantir un avenir vivable”, il lui faut au plus vite transformer en profondeur les modes de production et de consommation. Pas de quoi inquiéter l’avocat Gilles-William Goldnadel, qui remet en cause le sérieux de ces observations. “Contrairement à ce que l’on veut vous faire croire, les gens du GIEC ne sont pas des scientifiques”, affirme-t-il sur Twitter.
Qui sont les spécialistes derrière le dernier rapport du GIEC ? En tout, 278 auteurs venant de 65 pays et 354 auteurs collaborateurs qui ont analysé plus de 18 000 publications. On retrouve parmi ces experts des scientifiques experts du climat, des énergies renouvelables mais aussi d’autres profils, notamment des économistes. Ce groupe de travail est dirigé par le professeur Jim Skea, professeur d’énergies renouvelables à l’Imperial College de Londres et Priyadarshi R. Shukla, professeur à l’institut indien de management Ahmedabad.
À leurs côtés, sept vice-présidents "de formations différentes fournissent des orientations au Groupe sur les aspects scientifiques et techniques”, et des spécialistes apportent un soutien technique. L’ensemble du rapport a fait l’objet de nombreuses relectures par les experts et les gouvernements afin de garantir la justesse des informations présentées. Que le rapport soit aussi un geste politique ne signifie pas qu'il ne repose pas sur des bases scientifiques.
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Qui sont les spécialistes derrière le dernier rapport du GIEC ? En tout, 278 auteurs venant de 65 pays et 354 auteurs collaborateurs qui ont analysé plus de 18 000 publications. On retrouve parmi ces experts des scientifiques experts du climat, des énergies renouvelables mais aussi d’autres profils, notamment des économistes. Ce groupe de travail est dirigé par le professeur Jim Skea, professeur d’énergies renouvelables à l’Imperial College de Londres et Priyadarshi R. Shukla, professeur à l’institut indien de management Ahmedabad.
À leurs côtés, sept vice-présidents "de formations différentes fournissent des orientations au Groupe sur les aspects scientifiques et techniques”, et des spécialistes apportent un soutien technique. L’ensemble du rapport a fait l’objet de nombreuses relectures par les experts et les gouvernements afin de garantir la justesse des informations présentées. Que le rapport soit aussi un geste politique ne signifie pas qu'il ne repose pas sur des bases scientifiques.
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