Une policière violemment agressée dans un commissariat du 11e arrondissement de Paris par un homme placé en garde à vue qui a tenté de l'étrangler
- il y a 2 ans
Une policière a été violemment agressée dans le commissariat du 11e arrondissement de Paris par un homme placé en garde à vue, a-t-on appris ce mardi de sources concordantes. Selon les informations d’Actu17, l'homme a affirmé être un sans domicile fixe de 23 ans de nationalité algérienne. Interpellé au cours du week-end, l'individu, connu des services de police, est accusé d’avoir commis un vol à main armée alors qu’il était ivre.
Lors de sa garde à vue, il a demandé à se rendre aux toilettes. Escorté par une policière, il s'est alors jeté sur cette dernière avant de l’étrangler. Selon une source policière, «la prise aurait duré de longues secondes».
L’agresseur a dans le même temps «tenté de s’emparer de l’arme de la policière, sans réussir». La fonctionnaire doit son salut à l'un de ses collègues, très réactif.
Selon Le Figaro, le mis en cause avait déjà agressé un autre policier, lui assénant un coup de tête lors de sa fouille. La policière étranglée a quant à elle été évacuée à l’hôpital Saint-Antoine, dans le 12e arrondissement de Paris, sans que son pronostic vital ne soit engagé.
De son côté, l’individu a été placé en détention provisoire avant son audience devant le tribunal correctionnel de Paris le 12 avril prochain pour «violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique» et «port d’arme».
Lors de sa garde à vue, il a demandé à se rendre aux toilettes. Escorté par une policière, il s'est alors jeté sur cette dernière avant de l’étrangler. Selon une source policière, «la prise aurait duré de longues secondes».
L’agresseur a dans le même temps «tenté de s’emparer de l’arme de la policière, sans réussir». La fonctionnaire doit son salut à l'un de ses collègues, très réactif.
Selon Le Figaro, le mis en cause avait déjà agressé un autre policier, lui assénant un coup de tête lors de sa fouille. La policière étranglée a quant à elle été évacuée à l’hôpital Saint-Antoine, dans le 12e arrondissement de Paris, sans que son pronostic vital ne soit engagé.
De son côté, l’individu a été placé en détention provisoire avant son audience devant le tribunal correctionnel de Paris le 12 avril prochain pour «violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique» et «port d’arme».