La 5e Biennale Émergences a pris ses quartiers au Centre National de la Danse à Pantin (Seine-Saint-Denis). Au programme : des expositions, conférences et des stands de créateurs, avec l'ambition de présenter aux professionnels comme aux amateurs les jeunes artisans, designers et artistes plasticiens qui font bouger la région. Dans l'écrin unique qu'est ce chef-d'œuvre du brutalisme, on navigue entre les installations de vêtements cousu main, de petits objets d'arts et de mobilier imprimé en 3D avec le constat d'un retour certain de l'auto-édition voire de la pièce unique. C'est notamment le cas des consoles ultra-poétiques de Marlène Huissoud, réalisées avec des matériaux organiques générés par des abeilles ou des vers à soie.
En parallèle, les commissaires de la Biennale ont demandé à une vingtaine de créateurs d'intervenir dans les espaces vides de l'immeuble signé Jacques Kalisz pour faire communiquer œuvres contemporaines et le béton brut du Centre National de la Danse. Cette exposition baptisée Interstices prend tout son sens quand Laureline Galliot dévoile sa colonne grecque revisitée dans un atrium carré à l'impressionnante hauteur sous plafond.
En parallèle, les commissaires de la Biennale ont demandé à une vingtaine de créateurs d'intervenir dans les espaces vides de l'immeuble signé Jacques Kalisz pour faire communiquer œuvres contemporaines et le béton brut du Centre National de la Danse. Cette exposition baptisée Interstices prend tout son sens quand Laureline Galliot dévoile sa colonne grecque revisitée dans un atrium carré à l'impressionnante hauteur sous plafond.
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Art et design