« Une série d’une qualité incroyable », immersive grâce à un « jeu d’acteurs de très haut niveau » qui nous fait plonger dans « les seventies et leur lot de fantasmes ». Mis à part quelques réticences quant à la justesse de l’accent québécois de l’actrice Jenna-Louise Coleman, « le Serpent », disponible sur Netflix , est « une série avec zéro défauts », selon nos journalistes Renaud Baronian et Emmanuel Marolle. Sur 8 épisodes, elle retrace l’histoire vraie de l’escroc français Charles Sobhraj, « joué remarquablement » par Tahar Rahim, qui va basculer dans l’horreur et assassiner dix-huit touristes hippies en Asie du Sud-Est, avec sa compagne et un complice d’origine indienne. La force de cette série, c’est de « placer le spectateur dans la peau des victimes » de Charles Sobhraj, « on est complètement subjugué par ce type terrifiant ». C’est aussi « une réussite dans l’ambiance seventies qu’elle arrive à mettre en scène ». « Les pantalons pattes def, les cols pelle à tarte, les grosses lunettes… », on pourrait « presque croire qu’il s’agit d’un documentaire ».
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