Meghan Markle a donné une interview à Oprah Winfrey dans laquelle l’Américaine fait des révélations fracassantes sur sa famille d’adoption : les Windsor. La plus grave concerne l’accusation de racisme et les interrogations supposées sur la couleur de peau de son fils. Les spécialistes de Buckingham s’accordent cependant sur le fait que ni la reine, ni Charles, ni William, ni Kate ne pourraient avoir eu des propos déplacés. « Des allégations racistes seraient plutôt le fait des fonctionnaires de la cour » tempère Stéphane Bern.
« Ils ont frappé là ou ça fait mal : sur le racisme présumé de la famille royale. Les Windsor sont perçus comme des Wasps (en français : Anglo-saxons blancs et protestants, NDLR) peu enclins à s’ouvrir à la diversité. Cette défiance perdure, bien que le prince Charles et le prince William ont ouvertement lutté contre le racisme dans la société. Si racisme il y a eu, il n’est sûrement pas le fait du premier cercle mais peut-être du 2e et 3e cercle royal », renchérit le journaliste Marc Roche, ancien correspondant du Monde à Londres et auteur du livre « Elle ne voulait pas être reine », consacré à Elizabeth II.
Perdue dans un monde qui ne lui ressemble pas, Meghan Markle a pensé au suicide lorsqu’elle vivait au sein de la famille royale britannique. « Elle n’était pas préparée à ce rôle » explique Stéphane Bern. « Quand on n’est pas du sérail, c’est très compliqué de savoir ce qu’il faut faire à l’intérieur de Buckingham, personne ne vous indique le mode d’emploi » décrypte Stéphane Bern, qui rappelle qu’ « elle a dû avoir des moments difficiles ».
Un an après la mise en retrait du couple et son départ pour la Californie, ces confessions, recueillies par la star de la télévision Oprah Winfrey, ont déclenché une nouvelle crise au sein de la monarchie britannique.
« Ils ont frappé là ou ça fait mal : sur le racisme présumé de la famille royale. Les Windsor sont perçus comme des Wasps (en français : Anglo-saxons blancs et protestants, NDLR) peu enclins à s’ouvrir à la diversité. Cette défiance perdure, bien que le prince Charles et le prince William ont ouvertement lutté contre le racisme dans la société. Si racisme il y a eu, il n’est sûrement pas le fait du premier cercle mais peut-être du 2e et 3e cercle royal », renchérit le journaliste Marc Roche, ancien correspondant du Monde à Londres et auteur du livre « Elle ne voulait pas être reine », consacré à Elizabeth II.
Perdue dans un monde qui ne lui ressemble pas, Meghan Markle a pensé au suicide lorsqu’elle vivait au sein de la famille royale britannique. « Elle n’était pas préparée à ce rôle » explique Stéphane Bern. « Quand on n’est pas du sérail, c’est très compliqué de savoir ce qu’il faut faire à l’intérieur de Buckingham, personne ne vous indique le mode d’emploi » décrypte Stéphane Bern, qui rappelle qu’ « elle a dû avoir des moments difficiles ».
Un an après la mise en retrait du couple et son départ pour la Californie, ces confessions, recueillies par la star de la télévision Oprah Winfrey, ont déclenché une nouvelle crise au sein de la monarchie britannique.
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