Kevin Escoffier avait déclenché, ce lundi, sa balise de détresse pour une importante voie d’eau. Il a été sauvé par Jean Le Cam, concurrent le plus proche, qui a été dérouté pour venir en aide au skipper français. «Il est à bord avec Jean, on vient de le voir», ont déclaré les proches d'Escoffier prévenus à 2h18 ce mardi de la réussite de l'opération de sauvetage.
Boris Hermann et Yannick Bestaven étaient aussi partis à la rescousse dans la soirée. Les quarantièmes rugissants sont impitoyables. Entré dans cette zone située entre le 40ème et 50ème parallèle de l’Hémisphère Sud et redoutée pour ses vents violents, le navigateur était confronté à des «rafales à 35 nœuds» et une «mer formée à près de 4,5m», selon son dernier message délivré dans la matinée. «Les conditions se durcissent sur la route vers Bonne Espérance», avait-il ajouté.
Ces conditions ne l’empêchaient pas d’avancer à vive allure dans l'Atlantique sud à bord de son PRB. A la faveur de moyennes impressionnantes, il était le plus rapide des bateaux de tête et avait réduit l’écart avec Thomas Ruyant (2e) ainsi que le leader Charlie Dalin. Mais sa progression a été stoppée nette.
A 14h46, Kevin Escoffier avait donné l’alerte et envoyé un message à son équipe à terre pour indiquer qu’il y avait de l’eau dans son bateau. Les secours avaient immédiatement été mis en place et il avait été demandé à Jean Le Cam, 4e du classement, de se dérouter pour se rendre auprès de lui.
Il était arrivé sur zone aux alentours de 17h et avait aperçu Escoffier, qui participe à son premier Vendée Globe, réfugié sur son radeau de survie. Il avait alors décidé de déplomber un moteur pour tenter de le récupérer.
L’opération de sauvetage s'était avérée difficile en raison d’une mer très formée avec des creux de 5 mètres et une eau à environ 10 degrés. Deux autres concurrents, l’Allemand Boris Hermann et Yannick Bestaven, avaient dû eux aussi être détournés pour venir en renfort à Le Cam et porter assistance à Escoffier.
Boris Hermann et Yannick Bestaven étaient aussi partis à la rescousse dans la soirée. Les quarantièmes rugissants sont impitoyables. Entré dans cette zone située entre le 40ème et 50ème parallèle de l’Hémisphère Sud et redoutée pour ses vents violents, le navigateur était confronté à des «rafales à 35 nœuds» et une «mer formée à près de 4,5m», selon son dernier message délivré dans la matinée. «Les conditions se durcissent sur la route vers Bonne Espérance», avait-il ajouté.
Ces conditions ne l’empêchaient pas d’avancer à vive allure dans l'Atlantique sud à bord de son PRB. A la faveur de moyennes impressionnantes, il était le plus rapide des bateaux de tête et avait réduit l’écart avec Thomas Ruyant (2e) ainsi que le leader Charlie Dalin. Mais sa progression a été stoppée nette.
A 14h46, Kevin Escoffier avait donné l’alerte et envoyé un message à son équipe à terre pour indiquer qu’il y avait de l’eau dans son bateau. Les secours avaient immédiatement été mis en place et il avait été demandé à Jean Le Cam, 4e du classement, de se dérouter pour se rendre auprès de lui.
Il était arrivé sur zone aux alentours de 17h et avait aperçu Escoffier, qui participe à son premier Vendée Globe, réfugié sur son radeau de survie. Il avait alors décidé de déplomber un moteur pour tenter de le récupérer.
L’opération de sauvetage s'était avérée difficile en raison d’une mer très formée avec des creux de 5 mètres et une eau à environ 10 degrés. Deux autres concurrents, l’Allemand Boris Hermann et Yannick Bestaven, avaient dû eux aussi être détournés pour venir en renfort à Le Cam et porter assistance à Escoffier.
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