Dans une interview à France 2, le papa d'Estelle Mouzin révèle que Michel Fourniret lui a proposé une rencontre pour lui parler de sa fille. Éric Mouzin évoque une lettre de Michel Fourniret qui lui a été adressée « il y a très longtemps » et dans laquelle le tueur lui proposait un rendez-vous « de père à père ». « Cette demande était formulée au milieu de tout un charabia incompréhensible et il n’a pas été donné suite à l’époque », explique le père d’Estelle qui souligne la « dangerosité et la perversité » du personnage, à même de détruire quelqu’un qui le rencontrerait sans être « préparé ».
Le tueur en série Michel Fourniret a affirmé être celui qui a fait disparaître et tué la jeune Estelle Mouzin, en 2003 à Guermantes (Seine-et-Marne), d'après le parquet de Paris. Il était, depuis fin novembre, mis en examen pour "enlèvement et séquestration suivis de mort" dans ce dossier, en plus des condamnations pour les meurtres de huit jeunes femmes et adolescentes. Ces déclarations ont eu lieu lors d'une audition longue de plusieurs jours face à la juge d'instruction parisienne Sabine Kheris, d'après les informations initialement révélées par Le Point et Europe 1.
À l'automne, Michel Fourniret n'était alors pas formellement passé aux aveux et avait affirmé que ses neurones "fichaient le camp". Sa mise en examen avait suivi l'audition de son ex-femme, Monique Olivier, qui avait fait tomber son alibi de toujours. S'il avait toujours affirmé avoir passé un appel téléphonique à son fils le soir de la disparition d'Estelle Mouzin, Monique Olivier avait indiqué avoir passé elle-même cet appel à la demande de son ex-mari, qui ne se trouvait pas à son domicile de Sart-Custinne ce jour-là.
Le tueur en série Michel Fourniret a affirmé être celui qui a fait disparaître et tué la jeune Estelle Mouzin, en 2003 à Guermantes (Seine-et-Marne), d'après le parquet de Paris. Il était, depuis fin novembre, mis en examen pour "enlèvement et séquestration suivis de mort" dans ce dossier, en plus des condamnations pour les meurtres de huit jeunes femmes et adolescentes. Ces déclarations ont eu lieu lors d'une audition longue de plusieurs jours face à la juge d'instruction parisienne Sabine Kheris, d'après les informations initialement révélées par Le Point et Europe 1.
À l'automne, Michel Fourniret n'était alors pas formellement passé aux aveux et avait affirmé que ses neurones "fichaient le camp". Sa mise en examen avait suivi l'audition de son ex-femme, Monique Olivier, qui avait fait tomber son alibi de toujours. S'il avait toujours affirmé avoir passé un appel téléphonique à son fils le soir de la disparition d'Estelle Mouzin, Monique Olivier avait indiqué avoir passé elle-même cet appel à la demande de son ex-mari, qui ne se trouvait pas à son domicile de Sart-Custinne ce jour-là.
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