Rien ne va plus entre le maire de la commune rurale de Korbé, dans la préfecture de Lélouma et les ressortissants du terroir. La gestion des cotisations volontaires des citoyens pour la réalisation des actions de développement local serait à l’origine de ce conflit, rapporte un correspondant de Guineematin.com en Moyenne Guinée.
Le maire de la commune rurale de Korbé, relevant de la préfecture de Lélouma, dans la Région Administrative (RA) de Labé ne se sent pas à l’aise dans ses relations avec les ressortissants du terroir. Il semble que les autorités locales ne sont ni consultées, ni associées à la gestion des cotisations des citoyens pour la réalisation des actions de développement initiées par les populations locales avec l’appui financier des ressortissants.
« S’ils veulent travailler avec nous, nous leur expliquons, le programme de réalisation que nous avons en vue. Personnellement, je ne veux pas voir la couleur de l’argent. S’ils nous appuis financièrement à leur réalisation, nous veillons l’exécution des travaux. Mais, s’ils tiennent à leurs idées seulement, nous aussi nous croisons les bras », a expliqué Souleymane Diallo, le maire de la commune rurale de Korbé.
L’exclusion des autorités locales de Korbé du processus de mise en œuvre des programmes de développement planifiés par les ressortissants du terroir est liée, dit-on, à la crise de confiance notoire qui caractérise les relations entre administrateurs territoriaux et populations.
Souleymane Diallo, maire de la commune rurale de Korbé
« On le consulte, à tout moment, on parle. Le problème, à tout travail, il voulait avoir cet argent-là, il met dans sa poche. Ça, on ne peut pas lui donner de l’argent pour gérer, parce qu’il n’y a pas de confiance. Vous savez même entre l’Etat et la population. Nous, nous avons vraiment la volonté de cotiser, les ressortissants ont la volonté de cotiser et donner à quelqu’un qui peut gérer le travail et faire un compte rendu propre », a déclaré Amadou Sadio Diallo, porte-parole Association pour le Développement Intégré de Korbé.
Pour ce jeune leader de la sous-préfecture de Korbé, la gestion des cotisations volontaires des citoyens ne devait pas être la préoccupation du maire de la commune rurale qui a plusieurs autres défis à relever.
Amadou Sadio Diallo, porte_parole Association pour le Développement Intégré de Korbé, dans Lélouma
« C’est la cotisation de nos ressortissants et les résidents qui sont à Korbé ici. Ils se sont donné les mains pour vraiment développer la localité. Maintenant, si le maire ou le sous-préfet ou quelqu’un d’autre dit qu’on ne le consulte pas, on le consulte. Mais, eux-aussi, ils doivent faire leurs contributions pour la localité. Le maire même, il doit chercher même des bailleurs, ailleurs, sans les ressortissants », a ajouté Amadou Sadio Diallo, porte-parole Association pour le Développement Intégré de Korbé.
Le maire de la commune rurale de Korbé, relevant de la préfecture de Lélouma, dans la Région Administrative (RA) de Labé ne se sent pas à l’aise dans ses relations avec les ressortissants du terroir. Il semble que les autorités locales ne sont ni consultées, ni associées à la gestion des cotisations des citoyens pour la réalisation des actions de développement initiées par les populations locales avec l’appui financier des ressortissants.
« S’ils veulent travailler avec nous, nous leur expliquons, le programme de réalisation que nous avons en vue. Personnellement, je ne veux pas voir la couleur de l’argent. S’ils nous appuis financièrement à leur réalisation, nous veillons l’exécution des travaux. Mais, s’ils tiennent à leurs idées seulement, nous aussi nous croisons les bras », a expliqué Souleymane Diallo, le maire de la commune rurale de Korbé.
L’exclusion des autorités locales de Korbé du processus de mise en œuvre des programmes de développement planifiés par les ressortissants du terroir est liée, dit-on, à la crise de confiance notoire qui caractérise les relations entre administrateurs territoriaux et populations.
Souleymane Diallo, maire de la commune rurale de Korbé
« On le consulte, à tout moment, on parle. Le problème, à tout travail, il voulait avoir cet argent-là, il met dans sa poche. Ça, on ne peut pas lui donner de l’argent pour gérer, parce qu’il n’y a pas de confiance. Vous savez même entre l’Etat et la population. Nous, nous avons vraiment la volonté de cotiser, les ressortissants ont la volonté de cotiser et donner à quelqu’un qui peut gérer le travail et faire un compte rendu propre », a déclaré Amadou Sadio Diallo, porte-parole Association pour le Développement Intégré de Korbé.
Pour ce jeune leader de la sous-préfecture de Korbé, la gestion des cotisations volontaires des citoyens ne devait pas être la préoccupation du maire de la commune rurale qui a plusieurs autres défis à relever.
Amadou Sadio Diallo, porte_parole Association pour le Développement Intégré de Korbé, dans Lélouma
« C’est la cotisation de nos ressortissants et les résidents qui sont à Korbé ici. Ils se sont donné les mains pour vraiment développer la localité. Maintenant, si le maire ou le sous-préfet ou quelqu’un d’autre dit qu’on ne le consulte pas, on le consulte. Mais, eux-aussi, ils doivent faire leurs contributions pour la localité. Le maire même, il doit chercher même des bailleurs, ailleurs, sans les ressortissants », a ajouté Amadou Sadio Diallo, porte-parole Association pour le Développement Intégré de Korbé.
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