Mali : la menace jihadiste après le coup d'état contre le président Keita

  • il y a 4 ans
Alors que le président malien, IBK, a annoncé sa démission et la dissolution de l’Assemblée nationale dans la nuit de mardi à mercredi après son arrestation par des soldats, le pays est toujours en proie aux violences jihadistes.
Le Conseil de sécurité des Nations unies doit se réunir mercredi après-midi en urgence à huis clos, à la demande de la France et du Niger. La France est au Mali depuis janvier 2013 dans le cadre de l'opération Barkhane au Sahel (ex-Serval), au sein d'une intervention militaire internationale à son initiative.