Déconfinez-moi c'est l'émission qui parle de votre quotidien. Déconfinez moi va vous raconter des histoires, de belles histoires qui se sont passées pendant le confinement. L'objectif : vous informer et vous faire sourire.
Au programme ce lundi 18 mai 2020 :
- Coiffure : Les professionnels de la coiffure sont dorénavant considéré comme "d'utilité publique". En effet, depuis leur réouverture, ils ont été pris d'assaut par des clients qui avaient hâte de se faire shampouiner à nouveau !
- Économie : Maintenant, il faut que ça brasse ! Fraîchement ouvert depuis 3 mois, le nouveau Ninkasi du Technopole à Saint-Étienne avait dû stopper net son activité. Gregory Arsac, gérant de l'établissement était notre invité.
- Succes-story : Et non, pas de big mac au bout des bennes, mais tout simplement une déchetterie où les Ligériens font la queue pour déposer leurs déchets. Découvrez en images la réouverture de la déchetterie de Roche-la-Molière, après 2 mois de confinement.
- Scolarité : Astrid vit à Saint-Etienne, elle a deux petites filles en classe élémentaire ; elle fait partie de ces parents qui ne souhaitent pas remettre ses enfants en collectivité. Léopoldine et Liselotte retrouveront le chemin de l'école seulement au mois de septembre.
Au programme ce lundi 18 mai 2020 :
- Coiffure : Les professionnels de la coiffure sont dorénavant considéré comme "d'utilité publique". En effet, depuis leur réouverture, ils ont été pris d'assaut par des clients qui avaient hâte de se faire shampouiner à nouveau !
- Économie : Maintenant, il faut que ça brasse ! Fraîchement ouvert depuis 3 mois, le nouveau Ninkasi du Technopole à Saint-Étienne avait dû stopper net son activité. Gregory Arsac, gérant de l'établissement était notre invité.
- Succes-story : Et non, pas de big mac au bout des bennes, mais tout simplement une déchetterie où les Ligériens font la queue pour déposer leurs déchets. Découvrez en images la réouverture de la déchetterie de Roche-la-Molière, après 2 mois de confinement.
- Scolarité : Astrid vit à Saint-Etienne, elle a deux petites filles en classe élémentaire ; elle fait partie de ces parents qui ne souhaitent pas remettre ses enfants en collectivité. Léopoldine et Liselotte retrouveront le chemin de l'école seulement au mois de septembre.
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