Alors que tout le monde est préoccupé par l’épidémie de coronavirus, un scandale secoue la Corée du Sud.
L’un des plus grands réseaux d’exploitation sexuelle du pays vient d’être démantelé.
Créé sur l’application Telegram, il permettait aux utilisateurs d’avoir accès, a du contenu pédopornographique.
Parmi les 103 victimes déjà identifiées, 26 sont des enfants.
Les voyeurs payaient de 250 000 à 1,5 million de wons (de 187 à 1 125 euros) selon la pièce choisie.
Pour accéder aux pièces les plus chères, il ne fallait pas seulement être spectateur mais aussi acteur de la room.
Il fallait ainsi fournir soit du contenu pornographique, soit des informations privées sur des femmes.
L’affaire a suscité une vive émotion dans le pays et mis en lumière les problèmes de la société.
La Corée du Sud reste l’un des fournisseurs les plus significatifs de pornographie pédophile.
L’un des plus grands réseaux d’exploitation sexuelle du pays vient d’être démantelé.
Créé sur l’application Telegram, il permettait aux utilisateurs d’avoir accès, a du contenu pédopornographique.
Parmi les 103 victimes déjà identifiées, 26 sont des enfants.
Les voyeurs payaient de 250 000 à 1,5 million de wons (de 187 à 1 125 euros) selon la pièce choisie.
Pour accéder aux pièces les plus chères, il ne fallait pas seulement être spectateur mais aussi acteur de la room.
Il fallait ainsi fournir soit du contenu pornographique, soit des informations privées sur des femmes.
L’affaire a suscité une vive émotion dans le pays et mis en lumière les problèmes de la société.
La Corée du Sud reste l’un des fournisseurs les plus significatifs de pornographie pédophile.
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