À une quinzaine de kilomètres au-dessus de nous, la couche d’ozone forme un écran qui nous protège des rayons ultraviolets.
Chaque année, il se forme un trou dans cette couche d’ozone au-dessus de l'Antarctique.
Un trou dont les chercheurs surveillent l'ampleur à partir de l'espace, grâce à des ballons-sondes.
Traditionnellement, il atteint, fin septembre, une superficie maximale de l'ordre de 21 millions de kilomètres carrés.
Mais cette année, il est arrivé à son maximum dès début septembre avec seulement 16 millions de kilomètres carrés.
Une excellente nouvelle qui ne doit pas laisser penser qu'elle est le signe d'un rétablissement de la couche d'ozone.
Le phénomène serait plus lié à des conditions météorologiques exceptionnelles selon la Nasa.
Chaque année, il se forme un trou dans cette couche d’ozone au-dessus de l'Antarctique.
Un trou dont les chercheurs surveillent l'ampleur à partir de l'espace, grâce à des ballons-sondes.
Traditionnellement, il atteint, fin septembre, une superficie maximale de l'ordre de 21 millions de kilomètres carrés.
Mais cette année, il est arrivé à son maximum dès début septembre avec seulement 16 millions de kilomètres carrés.
Une excellente nouvelle qui ne doit pas laisser penser qu'elle est le signe d'un rétablissement de la couche d'ozone.
Le phénomène serait plus lié à des conditions météorologiques exceptionnelles selon la Nasa.
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