Si aux Etats-Unis, elle fait partie de ces talents précoces attendues au plus haut niveau, Sofia Kenin s'était faite connaitre en juin dernier aux yeux du grand public en France à Roland Garros en atteignant pour la première fois la deuxième semaine et les huitièmes de finale en Grand Chelem. Ce n'est donc pas un hasard de l'avoir retrouvée ce samedi, embrassant son premier Grand Chelem à Melbourne.
Première mondiale chez les juniors en 2015, la jeune Sofia avait alors atteint la finale, chez elle à l'US Open. Même si la pression et les enjeux sont tout à fait différents, c'est peut-être sur l'expérience de cette défaite que s'est construit son succès ce samedi pour sa première participation à une finale de Grand Chelem chez les "grandes". Car, à 21 ans, le CV de la nouvelle championne était jusqu'ici fort logiquement peu fourni. Elle n'avait atteint la deuxième semaine en Grand Chelem qu'aux Internationaux de France, et avait explosé en 2019 en glanant trois titres WTA, à Hobart, sur le gazon de Majorque et à Guanzhou. Une progression qui se confirme dès ce début 2020.
Première mondiale chez les juniors en 2015, la jeune Sofia avait alors atteint la finale, chez elle à l'US Open. Même si la pression et les enjeux sont tout à fait différents, c'est peut-être sur l'expérience de cette défaite que s'est construit son succès ce samedi pour sa première participation à une finale de Grand Chelem chez les "grandes". Car, à 21 ans, le CV de la nouvelle championne était jusqu'ici fort logiquement peu fourni. Elle n'avait atteint la deuxième semaine en Grand Chelem qu'aux Internationaux de France, et avait explosé en 2019 en glanant trois titres WTA, à Hobart, sur le gazon de Majorque et à Guanzhou. Une progression qui se confirme dès ce début 2020.
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