De récentes études montrent un lien entre la taille des oiseaux migrateurs et le réchauffement climatique.
Les oiseaux migrateurs sont en effet très sensibles aux températures, au point de subir des modifications corporelles.
Cette étude a été effectué pendant 40 ans sur plus de 70 000 oiseaux de 52 espèces différentes.
Les mesures faites entre 1978 et 2016 révèlent que la masse corporelle de ces oiseaux ont diminué de 2,6 %.
Alors que la longueur des os des pattes a rapetissé de 2,4 %, la longueur de leur ailes a augmenté de 1,3 %.
Le rétrécissement de la masse corporelle des oiseaux serait du à la température dans les zones de reproduction.
L’augmentation de la taille de leurs ailes permettrait de compenser la baisse de masse corporelle durant le vol migratoire.
Les oiseaux ne sont pas les seuls animaux à rétrécir à côté du réchauffement climatique.
D’autres études ont montré que les chèvres alpines ou les salamandres rétrécissent également.
Les oiseaux migrateurs sont en effet très sensibles aux températures, au point de subir des modifications corporelles.
Cette étude a été effectué pendant 40 ans sur plus de 70 000 oiseaux de 52 espèces différentes.
Les mesures faites entre 1978 et 2016 révèlent que la masse corporelle de ces oiseaux ont diminué de 2,6 %.
Alors que la longueur des os des pattes a rapetissé de 2,4 %, la longueur de leur ailes a augmenté de 1,3 %.
Le rétrécissement de la masse corporelle des oiseaux serait du à la température dans les zones de reproduction.
L’augmentation de la taille de leurs ailes permettrait de compenser la baisse de masse corporelle durant le vol migratoire.
Les oiseaux ne sont pas les seuls animaux à rétrécir à côté du réchauffement climatique.
D’autres études ont montré que les chèvres alpines ou les salamandres rétrécissent également.
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