Il y a trois ans, les entreprises françaises se précipitaient en Iran pour profiter de la levée de l'embargo. A commencer par les constructeurs auto. Peugeot avait alors investi 400 millions d'euros pour produire des voitures sur place. Mais l'an dernier, tout s'est effondré. Effrayé par les sanctions américaine, PSA a précipitamment coupé les ponts. Sur place pourtant, des "fausses" Peugeot continuent de sortir des usines, et sont tolérées par le constructeur
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