Une bande de passionnés se retrouve bénévolement depuis 5 ans autour d'une péniche en bois pour la restaurer avec un rêve, qu'elle reparte naviguer sur les eaux, ou du moins qu'elle retrouve une seconde vie. Un patrimoine en péril sauver par des anonymes.
Jean-Louis Huguenot, professeur de biologie à la retraite, participe à la conservation de cette péniche en bois, l’une des dernières en France.
L’Aster est né en 1951. Sans commande et avec un stock de bois sur les bras, le propriétaire d’un chantier naval du Cher fait construire ce bateau avec un pari fou.
70 ans plus tard, une dizaine de bénévoles restaurent la péniche chaque mercredi dans ce haut-lieu de la batellerie française.
Transporteur de marchandises vers le Nord, d’enfants en classe verte dans les années 1970 puis de croisiéristes, l’Aster a mené plusieurs vies avant de rester à quai, car cette péniche en bois est devenue non conforme aux normes européennes.
Mais avec déjà plus de 9.000 heures de travail, ces passionnés espèrent la transformer en lieu d’exposition, voir plus encore.
Terminer les travaux d’ici la fin de l’année, c’est l’objectif de cette association, tout comme construire un abri pour l’Aster.
Reste à trouver de l’argent pour remettre cette péniche rare en état : les travaux restants sont estimés à plus de 200.000 euros.
Jean-Louis Huguenot, professeur de biologie à la retraite, participe à la conservation de cette péniche en bois, l’une des dernières en France.
L’Aster est né en 1951. Sans commande et avec un stock de bois sur les bras, le propriétaire d’un chantier naval du Cher fait construire ce bateau avec un pari fou.
70 ans plus tard, une dizaine de bénévoles restaurent la péniche chaque mercredi dans ce haut-lieu de la batellerie française.
Transporteur de marchandises vers le Nord, d’enfants en classe verte dans les années 1970 puis de croisiéristes, l’Aster a mené plusieurs vies avant de rester à quai, car cette péniche en bois est devenue non conforme aux normes européennes.
Mais avec déjà plus de 9.000 heures de travail, ces passionnés espèrent la transformer en lieu d’exposition, voir plus encore.
Terminer les travaux d’ici la fin de l’année, c’est l’objectif de cette association, tout comme construire un abri pour l’Aster.
Reste à trouver de l’argent pour remettre cette péniche rare en état : les travaux restants sont estimés à plus de 200.000 euros.
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