Chroniqueuse : Myriam Seurat
Pour sa quinzième édition, « Les Étés de la Danse » invitent la Compañia Nacional de Danza de España, dirigée par José Martinez.
Dix représentations de Carmen chorégraphié par Johan Inger, seront données au théâtre Mogador jusqu’au 17 juillet.
Qui mieux que la Compañia Nacional de Danza de España pour épouser le tempérament passionné et fougueux de « Carmen » ? Surtout quand son directeur José Martínez confie la chorégraphie à un homme venu du Nord, Johan Inger, chorégraphe associé au prestigieux Nederlands Dans Theater !
Revisitant le mythe sans jamais le trahir, le chorégraphe suédois déplace savamment le cadre originel du roman - l’usine de tabac, les abords de Séville et les montagnes de Ronda – dans une banlieue délaissée, et centre son propos sur la violence à travers le regard d’un enfant.
Costumes intemporels en rouge, blanc et noir ; jeu de miroirs démultipliant les silhouettes à l’infini ; spectre lumineux précieux entre éclats colorés et ombres noires : l’alliance du chaud et du froid donne un nouveau souffle au ballet qui redouble d’énergie et de volupté. Plus que jamais « Carmen » est une héroïne libre, courageuse, contemporaine… voire une personnalité apocalyptique.
Théâtre Mogador,
25 rue Mogador,
75009 Paris
Plus d’informations sur :
www.lesetesdeladanse.com
Pour sa quinzième édition, « Les Étés de la Danse » invitent la Compañia Nacional de Danza de España, dirigée par José Martinez.
Dix représentations de Carmen chorégraphié par Johan Inger, seront données au théâtre Mogador jusqu’au 17 juillet.
Qui mieux que la Compañia Nacional de Danza de España pour épouser le tempérament passionné et fougueux de « Carmen » ? Surtout quand son directeur José Martínez confie la chorégraphie à un homme venu du Nord, Johan Inger, chorégraphe associé au prestigieux Nederlands Dans Theater !
Revisitant le mythe sans jamais le trahir, le chorégraphe suédois déplace savamment le cadre originel du roman - l’usine de tabac, les abords de Séville et les montagnes de Ronda – dans une banlieue délaissée, et centre son propos sur la violence à travers le regard d’un enfant.
Costumes intemporels en rouge, blanc et noir ; jeu de miroirs démultipliant les silhouettes à l’infini ; spectre lumineux précieux entre éclats colorés et ombres noires : l’alliance du chaud et du froid donne un nouveau souffle au ballet qui redouble d’énergie et de volupté. Plus que jamais « Carmen » est une héroïne libre, courageuse, contemporaine… voire une personnalité apocalyptique.
Théâtre Mogador,
25 rue Mogador,
75009 Paris
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