Un Français fiché au grand banditisme a été condamné ce jeudi 27 juin à cinq ans de prison en Belgique pour sa participation à un spectaculaire braquage de diamants et métaux précieux en 2013 sur le tarmac de l’aéroport international de Bruxelles.
Marc Bertoldi, 48 ans, originaire de Metz (Moselle), a été condamné à cinq ans de prison en Belgique pour avoir pris part à ce qui a été surnommé le « casse du siècle » par les médias belges. L’homme a toujours nié.
À l’audience, le 15 mai devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, il avait uniquement reconnu avoir recelé une partie des diamants issus de vol, pour une valeur de 7 millions d’euros soit environ un cinquième du butin.Huit ans de prison avaient été requis contre lui.
Jeudi, le tribunal l’a finalement condamné à cinq ans de prison et 6 000 € d’amende pour sa participation à ce braquage dont il a été « un des rouages indispensables ».Mais le jugement lu par la présidente stipule aussi qu'« il n’a pas participé personnellement à l’ensemble des infractions commises », notamment le vol des voitures utilisées qui avaient ensuite été incendiées.
À l’énoncé du jugement, Marc Bertoldi, carrure athlétique, jean et chemise foncés, est resté impassible.« Merci, au revoir », a-t-il dit dans un sourire quand la présidente lui a précisé qu’il disposait d’un mois pour interjeter appel.
Marc Bertoldi, 48 ans, originaire de Metz (Moselle), a été condamné à cinq ans de prison en Belgique pour avoir pris part à ce qui a été surnommé le « casse du siècle » par les médias belges. L’homme a toujours nié.
À l’audience, le 15 mai devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, il avait uniquement reconnu avoir recelé une partie des diamants issus de vol, pour une valeur de 7 millions d’euros soit environ un cinquième du butin.Huit ans de prison avaient été requis contre lui.
Jeudi, le tribunal l’a finalement condamné à cinq ans de prison et 6 000 € d’amende pour sa participation à ce braquage dont il a été « un des rouages indispensables ».Mais le jugement lu par la présidente stipule aussi qu'« il n’a pas participé personnellement à l’ensemble des infractions commises », notamment le vol des voitures utilisées qui avaient ensuite été incendiées.
À l’énoncé du jugement, Marc Bertoldi, carrure athlétique, jean et chemise foncés, est resté impassible.« Merci, au revoir », a-t-il dit dans un sourire quand la présidente lui a précisé qu’il disposait d’un mois pour interjeter appel.
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