Nantes. La grève se poursuit aux urgences
Le personnel des urgences de Nantes a voté la continuation du mouvement. Il participera à la manifestation de défense du service public, jeudi 9 mai.
Réuni en assemblée générale, ce lundi 6 mai, le personnel des urgences a voté la poursuite de la grève, après les propositions de la direction. « Il y a des avancées, mais le compte n’y est pas », estiment les syndicats FO, CGT et Sud et CFDT. Les postes qui vont être créés le seront à partir de novembre 2019. Le personnel voudrait du renfort plus rapidement.
Infirmiers, aides-soignants, administratifs à l’accueil, brancardiers défileront en nombre ce jeudi 9 mai, lors de la manifestation de défense du service public. « On partira du CHU pour rejoindre le cortège », souligne un syndicaliste de Sud.
Plus de 50 % des agents des urgences suivent cette grève, sachant que les contractuels, nombreux dans le service, ne font pas grève, dans l’immense majorité des cas. Par ailleurs, des infirmiers et aides soignants sont assignés au travail pour assurer un service public minimum.
Les urgences sont de plus en plus fréquentées et les moyens humains n’augmentent pas en proportion. « Le personnel ne peut plus assurer une bonne prise en charge des patients », estiment les grévistes. L’attente crée, en outre, de la tension avec les patients et leurs familles.
Réuni en assemblée générale, ce lundi 6 mai, le personnel des urgences a voté la poursuite de la grève, après les propositions de la direction. « Il y a des avancées, mais le compte n’y est pas », estiment les syndicats FO, CGT et Sud et CFDT. Les postes qui vont être créés le seront à partir de novembre 2019. Le personnel voudrait du renfort plus rapidement.
Infirmiers, aides-soignants, administratifs à l’accueil, brancardiers défileront en nombre ce jeudi 9 mai, lors de la manifestation de défense du service public. « On partira du CHU pour rejoindre le cortège », souligne un syndicaliste de Sud.
Plus de 50 % des agents des urgences suivent cette grève, sachant que les contractuels, nombreux dans le service, ne font pas grève, dans l’immense majorité des cas. Par ailleurs, des infirmiers et aides soignants sont assignés au travail pour assurer un service public minimum.
Les urgences sont de plus en plus fréquentées et les moyens humains n’augmentent pas en proportion. « Le personnel ne peut plus assurer une bonne prise en charge des patients », estiment les grévistes. L’attente crée, en outre, de la tension avec les patients et leurs familles.
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