IMETLAA NARIF
- il y a 16 ans
Le nouveau CD reprend les chansons du premier album "An-nili" avec des rythmes des éternels "izlan" du Rif et de flamenco.
Les chansons nous transportent dans les tréfonds de la musique de l’Espagne et du Rif. Ils nous envoûtent avec leurs rythmes anciens puisés dans leurs cultures millénaires, riches et différentes, mais aspirant au dialogue et à la tolérance entre les nations dans un monde marqué par le terrorisme et l’instabilité.
Les chants du groupe Imetlaâ permettent aux milliers de Berbères exilés en Europe, et aux Pays-Bas en particulier, de renouer avec leur culture, leur musique et leur idéaux. Leur musique ouverte sur plusieurs genres (funk, Rock,...) met en avant des rythmes amazighs anciens puisés dans la tradition rifaine. Dans la musique d’Imetlaâ, on constate ce mélange d’instruments traditionnels (adjun et derbouga) et modernes, la diversité des sons, des mélodies et des rythmes amazighes anciens. L’éternel "Ralla Buya" [2] est sans cesse rénové. Le groupe a réussi à s’imposer sur la scène européenne en mettant sur pied un style unique et original. En témoignent les différents concerts qu’il avait organisés en Belgique, aux Pays-Bas et à Tamazgha qui ont été marqués par une affluence considérable.
Le nouvel album traite de l’identité amazighe, de l’exil (awedd’ar = "la perte"), de l’ennui et de la nostalgie ressentie par les immigrés amazighs en Europe (Ameqnud’), de l’espoir (Asirem), de l’amour inaccessible (tayri) et des problèmes sociaux (Tamimunt)
Le groupe avait remporté en 1996 le Prix "Plankenkoorts" (la chasse aux talents) aux Pays Bas. "Imetlaâ" est sans aucun doute l’un des meilleurs groupes de musique amazighe en Europe, issus de Tamazgha occidentale.
"Izran et Flamenco" sera présenté le 24 mars à La Haye aux Pays-Bas.
Pour plus d’informations sur le groupe et ses concerts programmés, visitez leur site : www.imetlaa.com.
Les chansons nous transportent dans les tréfonds de la musique de l’Espagne et du Rif. Ils nous envoûtent avec leurs rythmes anciens puisés dans leurs cultures millénaires, riches et différentes, mais aspirant au dialogue et à la tolérance entre les nations dans un monde marqué par le terrorisme et l’instabilité.
Les chants du groupe Imetlaâ permettent aux milliers de Berbères exilés en Europe, et aux Pays-Bas en particulier, de renouer avec leur culture, leur musique et leur idéaux. Leur musique ouverte sur plusieurs genres (funk, Rock,...) met en avant des rythmes amazighs anciens puisés dans la tradition rifaine. Dans la musique d’Imetlaâ, on constate ce mélange d’instruments traditionnels (adjun et derbouga) et modernes, la diversité des sons, des mélodies et des rythmes amazighes anciens. L’éternel "Ralla Buya" [2] est sans cesse rénové. Le groupe a réussi à s’imposer sur la scène européenne en mettant sur pied un style unique et original. En témoignent les différents concerts qu’il avait organisés en Belgique, aux Pays-Bas et à Tamazgha qui ont été marqués par une affluence considérable.
Le nouvel album traite de l’identité amazighe, de l’exil (awedd’ar = "la perte"), de l’ennui et de la nostalgie ressentie par les immigrés amazighs en Europe (Ameqnud’), de l’espoir (Asirem), de l’amour inaccessible (tayri) et des problèmes sociaux (Tamimunt)
Le groupe avait remporté en 1996 le Prix "Plankenkoorts" (la chasse aux talents) aux Pays Bas. "Imetlaâ" est sans aucun doute l’un des meilleurs groupes de musique amazighe en Europe, issus de Tamazgha occidentale.
"Izran et Flamenco" sera présenté le 24 mars à La Haye aux Pays-Bas.
Pour plus d’informations sur le groupe et ses concerts programmés, visitez leur site : www.imetlaa.com.