L’humoriste Yassine Belattar mis en examen pour « menaces de mort » et « harcèlement moral »
- il y a 5 ans
L’humoriste Yassine Belattar avait été placé en garde à vue mardi à Paris. Il a été mis en examen mis en examen ce jeudi 28 mars. Dans la foulée, Radio Nova a annoncé la « mise en retrait » de l’humoriste de l’antenne.
L’humoriste Yassine Belattar, visé par une plainte de l’ex-auteur des Guignols de l’info Bruno Gaccio, a été mis en examen jeudi à Paris, notamment pour « menaces de mort » et « harcèlement moral » sur des personnes du monde du spectacle, a appris l’Agence France Presse (AFP) auprès de son avocate.
Après deux jours de garde à vue, l’animateur radio de 36 ans a été laissé libre sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec les protagonistes de l’affaire, a précisé la source judiciaire. Selon son avocate Me Safya Akorri, Yassine Belattar conteste les faits de harcèlement et une partie des menaces « dans un contexte de tension entre personnes du monde du spectacle ».
Concernant le harcèlement, « il apparaît que le parquet et la juge d’instruction n’ont pas pris le temps de regarder en détail les dépositions des différents témoins et confondent les uns et les autres », a-t-elle ajouté.
Le comédien, devenu aussi polémiste à la télévision, a été mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire ouverte jeudi par le parquet de Paris de ces mêmes chefs, selon la source judiciaire.
L’humoriste Yassine Belattar, visé par une plainte de l’ex-auteur des Guignols de l’info Bruno Gaccio, a été mis en examen jeudi à Paris, notamment pour « menaces de mort » et « harcèlement moral » sur des personnes du monde du spectacle, a appris l’Agence France Presse (AFP) auprès de son avocate.
Après deux jours de garde à vue, l’animateur radio de 36 ans a été laissé libre sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec les protagonistes de l’affaire, a précisé la source judiciaire. Selon son avocate Me Safya Akorri, Yassine Belattar conteste les faits de harcèlement et une partie des menaces « dans un contexte de tension entre personnes du monde du spectacle ».
Concernant le harcèlement, « il apparaît que le parquet et la juge d’instruction n’ont pas pris le temps de regarder en détail les dépositions des différents témoins et confondent les uns et les autres », a-t-elle ajouté.
Le comédien, devenu aussi polémiste à la télévision, a été mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire ouverte jeudi par le parquet de Paris de ces mêmes chefs, selon la source judiciaire.