Nous ne serions donc pas tous égaux face au diabète. Ce constat, on le retrouve au plus profond des personnes concernées, dans leur gène. Il existe deux formes de diabète. Le diabète de type 2 qui touche 90 % des malades, est associé au surpoids et à l'obésité avec des antécédents familiaux de diabète. C'est une pathologie due à une diminution du fonctionnement des cellules du pancréas. La sédentarité est également un facteur de risque. Le diabète de type 1 est lui d'origine immunitaire et génétique. Dans ce cas, c'est la destruction des cellules pancréatiques qui fabriquent l'insuline. Pour cette forme qui se déclare le plus souvent vers l'âge de 20 ans, le seul traitement possible est l'injection d'insuline. Contraignant, ce dispositif est en place aujourd'hui d'être substitué par un projet de recherche du professeur Raccah.
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