Les petits fruits ont une place à part sur le marché des fruits. Ils bénéficient d’une image très positive auprès des consommateurs et sont très recherchés pour être consommés en frais ou sous forme de produits transformés (confiture, sirop, jus de fruit…).
La culture de petits fruits permet de valoriser de petites surfaces, si le projet est orienté vers une commercialisation en vente directe et si l’on en transforme une partie que l’on vend également en circuits courts. Les petits fruits peuvent également être intéressants comme culture de diversification, en complément du maraîchage (complément de gamme « fruitée »), ou de la polyculture-élevage, ou encore de l’arboriculture en attendant l’entrée en production d’un verger.
La production de petits fruits ne présente pas de verrous techniques insurmontables en AB, mais nécessite de prendre en compte plusieurs éléments incontournables : choix de la parcelle, irrigation, dimensionnement de l’atelier en fonction de la main d’œuvre disponible, choix des variétés adaptées aux marchés visés…
Philippe PIARD, producteur de petits fruits à Alrance sur la ferme « Les Vents Sauvages » depuis près de 10 ans, est également formateur indépendant en production de fruits rouges. Sur 1 ha, en complément d’une activité de cueillette, il développe une production de framboise, myrtille, caseille, cassis, rhubarbe et groseille. Son atelier de transformation lui permet de transformer l’intégralité de sa production, qu’il commercialise sur les marchés locaux, au sein de magasins de producteurs et auprès de détaillants locaux.
Il présente les éléments incontournables à prendre en compte en amont de l’implantation et les itinéraires techniques des principales cultures de petits fruits. Sont ainsi abordés à titre d’exemple, pour chaque culture, les périodes de plantation, la fertilisation, l’entretien du sol et le palissage.
Il expose également ses pratiques de transformation et transmet ses conseils afin d’optimiser la transformation de petits fruits biologiques. Grâce à sa connaissance du marché local, il présente les tendances pour réussir sa commercialisation sur le département.
La culture de petits fruits permet de valoriser de petites surfaces, si le projet est orienté vers une commercialisation en vente directe et si l’on en transforme une partie que l’on vend également en circuits courts. Les petits fruits peuvent également être intéressants comme culture de diversification, en complément du maraîchage (complément de gamme « fruitée »), ou de la polyculture-élevage, ou encore de l’arboriculture en attendant l’entrée en production d’un verger.
La production de petits fruits ne présente pas de verrous techniques insurmontables en AB, mais nécessite de prendre en compte plusieurs éléments incontournables : choix de la parcelle, irrigation, dimensionnement de l’atelier en fonction de la main d’œuvre disponible, choix des variétés adaptées aux marchés visés…
Philippe PIARD, producteur de petits fruits à Alrance sur la ferme « Les Vents Sauvages » depuis près de 10 ans, est également formateur indépendant en production de fruits rouges. Sur 1 ha, en complément d’une activité de cueillette, il développe une production de framboise, myrtille, caseille, cassis, rhubarbe et groseille. Son atelier de transformation lui permet de transformer l’intégralité de sa production, qu’il commercialise sur les marchés locaux, au sein de magasins de producteurs et auprès de détaillants locaux.
Il présente les éléments incontournables à prendre en compte en amont de l’implantation et les itinéraires techniques des principales cultures de petits fruits. Sont ainsi abordés à titre d’exemple, pour chaque culture, les périodes de plantation, la fertilisation, l’entretien du sol et le palissage.
Il expose également ses pratiques de transformation et transmet ses conseils afin d’optimiser la transformation de petits fruits biologiques. Grâce à sa connaissance du marché local, il présente les tendances pour réussir sa commercialisation sur le département.
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