Les Pandoravirus sont des virus gigantesques, des mega-virus, cent fois plus grands que les virus classiques.
La plupart des virus n’ont pas besoin de beaucoup de gènes pour se développer : en général, ils s’implantent dans d’autres organismes pour grandir plus facilement.
Pourtant ces virus ont un génome énorme très lourd et riche. Le record est la propriété du Pandoravirus salinus qui possède 2473 paires de base, ce qui est considérable.
Les chercheurs se sont alors demandés pourquoi posséder autant de gènes alors que les autres virus en ont si peu ?
Les scientifiques ont découvert la présence anormale de gènes orphelins, introuvables dans d’autres génomes possédant des régions avec des signatures non codées.
Pour le résumer plus simplement, ces Pandoravirus seraient capables de développer leurs propres gènes, de les créer à partir de rien.
Au lieu de les hériter d’un ancêtre commun et de les ajuster au fil de leur évolution, ils les créeraient à partir d’un ensemble anarchique non codé.
La plupart des virus n’ont pas besoin de beaucoup de gènes pour se développer : en général, ils s’implantent dans d’autres organismes pour grandir plus facilement.
Pourtant ces virus ont un génome énorme très lourd et riche. Le record est la propriété du Pandoravirus salinus qui possède 2473 paires de base, ce qui est considérable.
Les chercheurs se sont alors demandés pourquoi posséder autant de gènes alors que les autres virus en ont si peu ?
Les scientifiques ont découvert la présence anormale de gènes orphelins, introuvables dans d’autres génomes possédant des régions avec des signatures non codées.
Pour le résumer plus simplement, ces Pandoravirus seraient capables de développer leurs propres gènes, de les créer à partir de rien.
Au lieu de les hériter d’un ancêtre commun et de les ajuster au fil de leur évolution, ils les créeraient à partir d’un ensemble anarchique non codé.
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