Le triomphe du roman graphique, de Will Eisner à Marjane Satrapi 2
Dans le monde anglo-saxon, on fait naître le graphic novel avec A contract with God de Will Eisner (1978) et Maus d’Art Spiegelman (1986 et 1991). D’autres évoquent The Dark Night returns de Frank Miller et Watchmen d’Alan Moore et Dave Gibbons (1986).
Mais si l’on parle de roman en bande dessinée, c’est La Ballade de la mer salée qui s’impose (dès 1967 en Italie et en 1975 dans le monde francophone). L’album d’Hugo Pratt ouvre la voie à Ici même de Tardi et Forest, Silence de Comès, Les Phalanges de l’ordre noir de Christin et Bilal. Et bientôt à des auteurs aussi différents que Julie Doucet et Fabrice Neaud, David B et Joe Sacco, Emmanuel Guibert et Marjane Satrapi, Alison Bechdel et Craig Thompson…
Par delà toute question de noir et blanc ou de couleur, de format ou de marketing, le roman graphique se caractérise par son ambition narrative et thématique et la liberté de son écriture. Il représente aujourd’hui, partout dans le monde, une ouverture majeure pour la bande dessinée.
Mais si l’on parle de roman en bande dessinée, c’est La Ballade de la mer salée qui s’impose (dès 1967 en Italie et en 1975 dans le monde francophone). L’album d’Hugo Pratt ouvre la voie à Ici même de Tardi et Forest, Silence de Comès, Les Phalanges de l’ordre noir de Christin et Bilal. Et bientôt à des auteurs aussi différents que Julie Doucet et Fabrice Neaud, David B et Joe Sacco, Emmanuel Guibert et Marjane Satrapi, Alison Bechdel et Craig Thompson…
Par delà toute question de noir et blanc ou de couleur, de format ou de marketing, le roman graphique se caractérise par son ambition narrative et thématique et la liberté de son écriture. Il représente aujourd’hui, partout dans le monde, une ouverture majeure pour la bande dessinée.
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Art et design