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Prendre sa température, toucher sa glaire cervicale, compter les jours de son cycle et, à la fin, espérer ne pas tomber enceinte. Des méthodes d’un autre âge de plus en plus plébiscitées par les femmes. Depuis les scandales sur la pilule de troisième génération, les hormones ont perdu du terrain face à des solutions de contraception dites « naturelles ».
La Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale (FNCGM) alerte aujourd’hui sur ce rejet. Dans un communiqué de presse, sa présidente, Pia de Reilhac, dénonce la fiabilité plus que relative de ces méthodes, à l'origine de nombreux avortements. Si le taux d'IVG est sensiblement le même en France depuis 2010 (environ 220 000 par an), on observe une augmentation des IVG itératives chez les 10-24 ans. C'est à dire que pour 10% d'entre elles, il s'agit d'une deuxième IVG et pour 4% c'est la troisième voire plus.
[La contraception 'naturelle' : une pratique contestée]
Prendre sa température, toucher sa glaire cervicale, compter les jours de son cycle et, à la fin, espérer ne pas tomber enceinte. Des méthodes d’un autre âge de plus en plus plébiscitées par les femmes. Depuis les scandales sur la pilule de troisième génération, les hormones ont perdu du terrain face à des solutions de contraception dites « naturelles ».
La Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale (FNCGM) alerte aujourd’hui sur ce rejet. Dans un communiqué de presse, sa présidente, Pia de Reilhac, dénonce la fiabilité plus que relative de ces méthodes, à l'origine de nombreux avortements. Si le taux d'IVG est sensiblement le même en France depuis 2010 (environ 220 000 par an), on observe une augmentation des IVG itératives chez les 10-24 ans. C'est à dire que pour 10% d'entre elles, il s'agit d'une deuxième IVG et pour 4% c'est la troisième voire plus.
[La contraception 'naturelle' : une pratique contestée]
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