Le don d’organe…cela vous concerne-t-il ?
Voilà un sujet qui me fait rire…. Si cela n’était pas si triste. On en parle depuis des années, on essaie de mettre en place des lois, on trouve des arguments pour ou contre, on tergiverse, on crée des organisations qui gèrent et consomment des moyens importants.
Alors que tout cela pourrait être tellement plus simple.
Le don d’organe c’est quoi ?
C’est une action à deux sens. Il y a celui qui donne et celui qui reçoit, c’est aussi simple que cela.
Examinons les facteurs qui rentrent en ligne de cause !
Le donneur, c’est celui qui en suite d’accident le plus souvent, mais aussi de maladie, décède. Une partie de ses organes peuvent servir à sauver la vie d’autres malades ou accidentés.
Quels sont souvent les problèmes posés ?
Le premier est celui de la volonté du donneur est-il consentant ou pas ?
Le deuxième, si l’on n’a pas connaissance de son désir, on cherche des membres de la famille et on les soumet à la QUESTION !!! Ceci paraît tellement naturel de demander à quelqu’un qui vient de perdre un parent, un conjoint, un frère, une sœur, un mari ou une femme, ou pire un enfant, si il, ou elle, est d’accord pour que l’on emprunte quelques organes, juste comme ça en passant.
Le troisième est que le TEMPS est important. La qualité d’un organe dépend aussi de la durée nécessaire au prélèvement et à sa mise à disposition.
Et pourtant, la solution est tellement simple….
Pourquoi ne pas demander à chaque citoyen de répondre lors d’une quelconque demande administrative s’il est disposé à faire don de ses organes en cas de décès. La formule la plus simple est par exemple, lors d’un changement d’adresse, de papiers d’identité, de permis de conduire, lors de ses contacts avec les médecins, caisse maladie, ou même déclaration fiscale. Chaque donneur a le droit à n’importe quel moment de changer d’avis.
Avantages.
Perdu : le temps de la décision de prélèvement d’organes
Gain : la qualité des organes prélevés
Perdu : l’émotion de la demande aux parents du décédé.
Gain : la facilité administrative
Contre.
Il n’y en pas vraiment
Gestion du système
En cas d’hospitalisation, c’est simple, le plus souvent le patient peut encore s’exprimer.
En cas d’accident, c’est simple aussi, on n’a besoin de personne puisque le décédé s’est exprimé.
Evidemment, il peut y avoir des dérapages de la part de personnes, mal attentionnées, mais est-il nécessaire que, pour un infime pourcentage de malfaisants, de priver le reste de ceux qui en auraient besoin de ces organes, dont on manque tant.
La législation en place, permet de poursuivre ces criminels, ne privons pas les autres pour autant.
N’oubliez pas non plus que le don d’organe, n’est pas réservé qu’aux jeunes.
PS, vous voulez intervenir, envoyez donc un mail ou un courrier, à votre représentant politique local :
Exemple :
Bonjour M. ou Mme X
Je m’appelle …. et j’habite à ….., je trouve la suggestion de Jean Louis intéressante et facile à mettre en place. Pourriez-vous en qualité d
Voilà un sujet qui me fait rire…. Si cela n’était pas si triste. On en parle depuis des années, on essaie de mettre en place des lois, on trouve des arguments pour ou contre, on tergiverse, on crée des organisations qui gèrent et consomment des moyens importants.
Alors que tout cela pourrait être tellement plus simple.
Le don d’organe c’est quoi ?
C’est une action à deux sens. Il y a celui qui donne et celui qui reçoit, c’est aussi simple que cela.
Examinons les facteurs qui rentrent en ligne de cause !
Le donneur, c’est celui qui en suite d’accident le plus souvent, mais aussi de maladie, décède. Une partie de ses organes peuvent servir à sauver la vie d’autres malades ou accidentés.
Quels sont souvent les problèmes posés ?
Le premier est celui de la volonté du donneur est-il consentant ou pas ?
Le deuxième, si l’on n’a pas connaissance de son désir, on cherche des membres de la famille et on les soumet à la QUESTION !!! Ceci paraît tellement naturel de demander à quelqu’un qui vient de perdre un parent, un conjoint, un frère, une sœur, un mari ou une femme, ou pire un enfant, si il, ou elle, est d’accord pour que l’on emprunte quelques organes, juste comme ça en passant.
Le troisième est que le TEMPS est important. La qualité d’un organe dépend aussi de la durée nécessaire au prélèvement et à sa mise à disposition.
Et pourtant, la solution est tellement simple….
Pourquoi ne pas demander à chaque citoyen de répondre lors d’une quelconque demande administrative s’il est disposé à faire don de ses organes en cas de décès. La formule la plus simple est par exemple, lors d’un changement d’adresse, de papiers d’identité, de permis de conduire, lors de ses contacts avec les médecins, caisse maladie, ou même déclaration fiscale. Chaque donneur a le droit à n’importe quel moment de changer d’avis.
Avantages.
Perdu : le temps de la décision de prélèvement d’organes
Gain : la qualité des organes prélevés
Perdu : l’émotion de la demande aux parents du décédé.
Gain : la facilité administrative
Contre.
Il n’y en pas vraiment
Gestion du système
En cas d’hospitalisation, c’est simple, le plus souvent le patient peut encore s’exprimer.
En cas d’accident, c’est simple aussi, on n’a besoin de personne puisque le décédé s’est exprimé.
Evidemment, il peut y avoir des dérapages de la part de personnes, mal attentionnées, mais est-il nécessaire que, pour un infime pourcentage de malfaisants, de priver le reste de ceux qui en auraient besoin de ces organes, dont on manque tant.
La législation en place, permet de poursuivre ces criminels, ne privons pas les autres pour autant.
N’oubliez pas non plus que le don d’organe, n’est pas réservé qu’aux jeunes.
PS, vous voulez intervenir, envoyez donc un mail ou un courrier, à votre représentant politique local :
Exemple :
Bonjour M. ou Mme X
Je m’appelle …. et j’habite à ….., je trouve la suggestion de Jean Louis intéressante et facile à mettre en place. Pourriez-vous en qualité d
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