On parle beaucoup, depuis quelques jours, de la centrale nucléaire du Tricastin, en France, suite au déversement accidentel de plus de 75 kg d'uranium dans un cours d'eau voisin de la centrale début juillet 2008.
En début de semaine, à nouveau, un nouvel accident a eu lieu sur le site. On parle d'une centaine de personnes "légèrement contaminées". Alain Peckre, le directeur de la centrale, explique qu' "un tuyau à l'intérieur du bâtiment a été ouvert dans le cadre des opérations de maintenance et de la poussière radioactive s'en est échappée". L'article du Monde relatant les faits mentionne un risque "classé provisoirement au niveau 0", les commentaires de l'article sont partagés entre peur et dénégations hautaines...
Il y a quatre ans, en 2004, François-Xavier Drouet passait par là avec une caméra. Il en avait tiré un court métrage remarquable, Acouphènes. Dans ce film de 17 minutes, le réalisateur incarne un jeune homme candide, terrorisé depuis son enfance par l’idée d’un accident atomique. Pour apaiser son angoisse, il se rend à Pierrelatte, près de la centrale...
Interrogeant avec humour le déni des habitants et la fabrique du consentement par les autorités, le film, fable documentaire et vraie-fausse enquête aux accents surréalistes, questionne l’adhésion à la société du risque.
En début de semaine, à nouveau, un nouvel accident a eu lieu sur le site. On parle d'une centaine de personnes "légèrement contaminées". Alain Peckre, le directeur de la centrale, explique qu' "un tuyau à l'intérieur du bâtiment a été ouvert dans le cadre des opérations de maintenance et de la poussière radioactive s'en est échappée". L'article du Monde relatant les faits mentionne un risque "classé provisoirement au niveau 0", les commentaires de l'article sont partagés entre peur et dénégations hautaines...
Il y a quatre ans, en 2004, François-Xavier Drouet passait par là avec une caméra. Il en avait tiré un court métrage remarquable, Acouphènes. Dans ce film de 17 minutes, le réalisateur incarne un jeune homme candide, terrorisé depuis son enfance par l’idée d’un accident atomique. Pour apaiser son angoisse, il se rend à Pierrelatte, près de la centrale...
Interrogeant avec humour le déni des habitants et la fabrique du consentement par les autorités, le film, fable documentaire et vraie-fausse enquête aux accents surréalistes, questionne l’adhésion à la société du risque.
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