À l'occasion de la sortie de son livre très personnel "Monstre", le JDD est allé à la rencontre de Gérard Depardieu dans son hôtel particulier du 6e arrondissement de Paris.
Et comme à son habitude, l'acteur n'a pas failli à sa réputation, en s'en prenant violemment aux journalistes. "Je n'aime pas les journalistes, car ils avancent leurs propos et déforment mes réponses. Je me méfie d'eux comme je me méfie des flics. Aujourd'hui, tout le monde se prétend journaliste. Les journalistes ne sont plus des gens qui informent, mais qui dénoncent. On est en garde à vue avec eux", dénonce-t-il dans les colonnes du JDD. Avant de poursuivre : "À l'heure des réseaux sociaux, un mot, une virgule, finit par vous faire condamner. Nous ne sommes pas loin de l'Inquisition. C'est déconcertant".
Quant à son goût prononcé pour la provocation, Gérard Depardieu l'assume totalement. "Je n'ai pas de codes, je n'ai pas de frontières, donc je suis un provocateur". Voilà qui est clair.
Et comme à son habitude, l'acteur n'a pas failli à sa réputation, en s'en prenant violemment aux journalistes. "Je n'aime pas les journalistes, car ils avancent leurs propos et déforment mes réponses. Je me méfie d'eux comme je me méfie des flics. Aujourd'hui, tout le monde se prétend journaliste. Les journalistes ne sont plus des gens qui informent, mais qui dénoncent. On est en garde à vue avec eux", dénonce-t-il dans les colonnes du JDD. Avant de poursuivre : "À l'heure des réseaux sociaux, un mot, une virgule, finit par vous faire condamner. Nous ne sommes pas loin de l'Inquisition. C'est déconcertant".
Quant à son goût prononcé pour la provocation, Gérard Depardieu l'assume totalement. "Je n'ai pas de codes, je n'ai pas de frontières, donc je suis un provocateur". Voilà qui est clair.
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