Le premier ministre canadien, Stephen Harper, a estimé dimanche 7 avril 2007, à Arras, que la bataille de Vimy (Pas-de-Calais) a soudé des liens forts entre son pays et la France.
À cette occasion, le sénateur-maire d'Arras, Jean-Marie Vanlerenberghe, a symboliquement octroyé le « droit de cité » aux militaires canadiens venus représenter les quatre divisions du corps canadien qui prirent la crête de Vimy aux forces allemandes.
Trois cents soldats canadiens ont défilé en musique dans les rues baïonnettes au canon, drapeaux déployés et tambours battants.
Une tradition militaire britannique exceptionnelle, telle une permission accordée à un régiment étranger. Elle s’articule autour d’un cérémonial codifié entre le commandant des forces, dans le cas présent le lieutenant-général Leslie (chef d’état-major de l’armée de terre), et le maire d'Arras, Jean-Marie Vanlerenberghe.
Voici donc que l’officier se présente devant l’imposante porte de bois de six mètres (fabriquée par les compagnons du tour de France d’Arras) et dressée place des Héros. Il frappe. De l’autre côté, le chef de la police municipale vient ouvrir et conduit le général jusqu’au maire, à qui il formule sa demande de droit de cité. Le premier magistrat, avant de laisser les soldats fouler le sol de sa ville, inspecte les troupes pour s’assurer qu’elles ne sont pas belliqueuses. La chose étant entendue, les deux interlocuteurs paraphent un parchemin et le défilé militaire peut s’ébranler. À sa suite, dix-sept groupes civils, dont des harmonies paradent devant une foule massée tout au long du parcours, agitant conjointement drapeaux français et canadiens).
À cette occasion, le sénateur-maire d'Arras, Jean-Marie Vanlerenberghe, a symboliquement octroyé le « droit de cité » aux militaires canadiens venus représenter les quatre divisions du corps canadien qui prirent la crête de Vimy aux forces allemandes.
Trois cents soldats canadiens ont défilé en musique dans les rues baïonnettes au canon, drapeaux déployés et tambours battants.
Une tradition militaire britannique exceptionnelle, telle une permission accordée à un régiment étranger. Elle s’articule autour d’un cérémonial codifié entre le commandant des forces, dans le cas présent le lieutenant-général Leslie (chef d’état-major de l’armée de terre), et le maire d'Arras, Jean-Marie Vanlerenberghe.
Voici donc que l’officier se présente devant l’imposante porte de bois de six mètres (fabriquée par les compagnons du tour de France d’Arras) et dressée place des Héros. Il frappe. De l’autre côté, le chef de la police municipale vient ouvrir et conduit le général jusqu’au maire, à qui il formule sa demande de droit de cité. Le premier magistrat, avant de laisser les soldats fouler le sol de sa ville, inspecte les troupes pour s’assurer qu’elles ne sont pas belliqueuses. La chose étant entendue, les deux interlocuteurs paraphent un parchemin et le défilé militaire peut s’ébranler. À sa suite, dix-sept groupes civils, dont des harmonies paradent devant une foule massée tout au long du parcours, agitant conjointement drapeaux français et canadiens).
Category
🗞
News