En 2015, le surpoids touchait 2,2 milliards de personnes, l’équivalent de 30 % de la population mondiale. En France, un adulte sur deux est en surpoids. Cette épidémie, multifactorielle, est responsable d’un net accroissement des maladies cardio-vasculaires, du diabète et de certains cancers à l’origine d’une augmentation de la mortalité.
L’étude Esteban de Santé publique France parue lundi 12 juin montre que les personnes les moins diplômées sont plus fréquemment obèses. Ainsi 60,8 % des hommes dont le niveau d’études est inférieur au baccalauréat sont en surpoids, contre 42 % de ceux de niveau bac + 3. Ces résultats confirment les tendances observées par la cohorte épidémiologique Constances en 2016, avec de fortes disparités régionales : 25,6 % dans le département du Nord, 10,7 % à Paris, zone la moins touchée.
Quelles sont les régions les plus touchées en France ? Peut-on lier pauvreté et obésité ? Comment lutter contre la « grossophobie » ? Réponses d’Anne-Sophie Joly, présidente du Collectif national des associations d’obèses (CNAO).
L’étude Esteban de Santé publique France parue lundi 12 juin montre que les personnes les moins diplômées sont plus fréquemment obèses. Ainsi 60,8 % des hommes dont le niveau d’études est inférieur au baccalauréat sont en surpoids, contre 42 % de ceux de niveau bac + 3. Ces résultats confirment les tendances observées par la cohorte épidémiologique Constances en 2016, avec de fortes disparités régionales : 25,6 % dans le département du Nord, 10,7 % à Paris, zone la moins touchée.
Quelles sont les régions les plus touchées en France ? Peut-on lier pauvreté et obésité ? Comment lutter contre la « grossophobie » ? Réponses d’Anne-Sophie Joly, présidente du Collectif national des associations d’obèses (CNAO).
Category
🗞
News