• il y a 7 ans
En 2 ans à peine, Dial-Once a réussi à séduire Orange, Generali, Carglass, Engie ou la Mairie de Paris avec sa digitalisation des appels téléphonique au service client et leur aiguillage vers une plateforme de contact visuelle intelligente. Finie la voix robotisée et la perte de temps à écouter ses « Tapez 1 » ou « Tapez 2 » et plus d’efficacité et d’économies pour les grands groupes. Décryptage d’un eurêka français avec son créateur, Charles Dunston.

Le SVI, Service Vocal Interactif, règne en maître depuis des décennies dans toutes nos relations téléphoniques avec des entreprises ou des administrations. A l’heure où tous les acteurs se soucient d’améliorer les expériences clients, un startup française, créée par Charles Dunston (fondateur de Chronoresto, vendu à Pages Jaunes), est pour l’instant la seule du marché à proposer une véritable alternative visuelle et pertinente pour donner plus d’autonomie aux clients dans leurs démarches d’appels.

En clair, dès la réception de son appel, le client est dirigé vers un interface visuelle qui lui permet de qualifier très rapidement sa demande et, en fonction de sa réponse, il est dirigé vers un des canaux digitaux de l’entreprise : contenu éditorial sur le site ou dans l’application mobile si celle-ci est déjà intallée, chat bot, etc. L’option du transfert vers un opérateur n’est donc plus la première mais reste évidemment la solution en cas de réelle nécessité. On appelle cet aiguillage un « intelligent contact hub » et Dial-Once se définit vraiment ainsi : un hub.

Début 2016, la société a levé 2 millions d'euros, auprès de Ventech, de l'américain BGV et de business angels et s’oriente désormais avec ses 15 collaborateurs vers l’internationalisation de son service. Dial-Once s’est mis au vert dans une maison de Saint-Cloud. Rencontre dans le jardin. @dialonce

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