Un message de paix après les attentats de Bruxelles. A travers le témoignage d'une victime des attentats de Bruxelles, cette vidéo et l'article lié - http://www.michelbouffioux.be/2017/02/walter-hassan-oussama-et-nous.html - nous parlent d'amitié, de paix, de vivre ensemble. De ce qui fait la grandeur des hommes : leur sens de la coopération.
Il est 8 heures, le 22 mars 2016. Walter fait la file avec d’autres passagers qui attendent l’embarquement pour le vol Bruxelles National-Tel Aviv. Une bombe explose. Walter vient de perdre la jambe droite. Les secours sont lents. Il se vide de son sang pendant de très longues minutes. Walter a de la chance. L’homme qui se trouvait derrière lui n’est plus qu’un corps sans tête. Grâce à Hassan, un employé de l’aéroport, Walter reste éveillé. Il se bat, survit. Près d’un an plus tard, rien n’a changé. Walter doit toujours se battre pour survivre. Mais cela ne l'empêche de chercher une résilience, de tenir des paroles d'ouverture et de paix. De confession juive, il s'est fait de nouveaux amis musulmans, des frères. Il dit notamment : « Je dois la vie à un musulman ! (Après l'explosion) Quand j’ai appelé ma mère, Hassan a entendu le mot “Israël”. Il aurait pu ne pas m’aider. Dans les jours qui ont suivi, il est venu tous les jours à l’hôpital avec sa femme voilée qui m’apportait des repas. On est devenu comme une famille."
Il est 8 heures, le 22 mars 2016. Walter fait la file avec d’autres passagers qui attendent l’embarquement pour le vol Bruxelles National-Tel Aviv. Une bombe explose. Walter vient de perdre la jambe droite. Les secours sont lents. Il se vide de son sang pendant de très longues minutes. Walter a de la chance. L’homme qui se trouvait derrière lui n’est plus qu’un corps sans tête. Grâce à Hassan, un employé de l’aéroport, Walter reste éveillé. Il se bat, survit. Près d’un an plus tard, rien n’a changé. Walter doit toujours se battre pour survivre. Mais cela ne l'empêche de chercher une résilience, de tenir des paroles d'ouverture et de paix. De confession juive, il s'est fait de nouveaux amis musulmans, des frères. Il dit notamment : « Je dois la vie à un musulman ! (Après l'explosion) Quand j’ai appelé ma mère, Hassan a entendu le mot “Israël”. Il aurait pu ne pas m’aider. Dans les jours qui ont suivi, il est venu tous les jours à l’hôpital avec sa femme voilée qui m’apportait des repas. On est devenu comme une famille."
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