Téhéran, 1988. Shideh, mariée et mère d’une petite fille, va débuter une école de médecine. Son mari est appelé au front durant la Guerre entre l’Iran et l’Irak. Shideh se retrouve alors seule avec sa fille. Mais bien vite celle-ci commence à avoir un comportement troublant et semble malade. La mère se demande alors si sa fille n’est pas possédée par un esprit…
Narges Rashidi joue le rôle de cette mère dans le film “Under the shadow” : “Le film est le personnage sont tellement complexes. Ce n’est pas seulement un film d’horreur. Cela commence comme un drame social qui se transforme en un thriller psychologique. Et ensuite on a des éléments d‘épouvante vers la fin. Je ne l’ai jamais considéré comme un film d’horreur. Je l’ai considéré du point de vue du personnage. Elle traverse tellement de choses, il y a tellement de couches. Ce film était comme un cadeau.”
Rashidi, 36, was born in Iran and fled the country with her family when she was around 5-years-old — settling in Germany, where she grew up. She now lives in Los Angeles but flashed back to those formative years in Iran when filming “Under the Shadow” in Jordan last year.
Narges Rashidi : “Je me souviens de la guerre par exemple c‘était très utile pour le jeu. Par exemple je me souviens quand j‘étais assises sur les genoux de ma mère. Je m’endormais. Et j’entendais des bruits et je me réveillais, et je disais ‘maman c‘était quoi’ Rien jusque quelques bombes, rendors toi. Parce que la guerre durait depuis tellement de temps elle était d’une certaine façon devenue normale.”
“Under the Shadow” est une coproduction entre le Qatar, la Jordanie et le Royaume-Uni. Il se retrouve dans la sélection des films pouvant représenter le Royaume Uni aux Oscars.
Narges Rashidi joue le rôle de cette mère dans le film “Under the shadow” : “Le film est le personnage sont tellement complexes. Ce n’est pas seulement un film d’horreur. Cela commence comme un drame social qui se transforme en un thriller psychologique. Et ensuite on a des éléments d‘épouvante vers la fin. Je ne l’ai jamais considéré comme un film d’horreur. Je l’ai considéré du point de vue du personnage. Elle traverse tellement de choses, il y a tellement de couches. Ce film était comme un cadeau.”
Rashidi, 36, was born in Iran and fled the country with her family when she was around 5-years-old — settling in Germany, where she grew up. She now lives in Los Angeles but flashed back to those formative years in Iran when filming “Under the Shadow” in Jordan last year.
Narges Rashidi : “Je me souviens de la guerre par exemple c‘était très utile pour le jeu. Par exemple je me souviens quand j‘étais assises sur les genoux de ma mère. Je m’endormais. Et j’entendais des bruits et je me réveillais, et je disais ‘maman c‘était quoi’ Rien jusque quelques bombes, rendors toi. Parce que la guerre durait depuis tellement de temps elle était d’une certaine façon devenue normale.”
“Under the Shadow” est une coproduction entre le Qatar, la Jordanie et le Royaume-Uni. Il se retrouve dans la sélection des films pouvant représenter le Royaume Uni aux Oscars.
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