• il y a 8 ans
Au fil de quatre histoires, le réalisateur américain dresse un portrait sardonique de la petite bourgeoisie du New Jersey, au travers du regard d’un teckel. Le « pitch » du dernier film de Todd Solondz est simple « c’est le portrait d’un teckel et de tous ceux auxquel il apportera un bref instant de bonheur. » Mais bien sûr, il n’est pas seulement question de bonheur dans le septième long métrage du réalisateur de Happiness (1998).

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